The Big Bang Theory – saison 1

J’avance dans ma liste des « à voir »…

Cette fois, c’est la série The Big Bang Theory qui arrive enfin devant mes mirettes. Encore une qui attendait dans ma liste des « à voir » depuis bien longtemps et que j’ai enfin pris le temps de commencer. Une première saison de pur bonheur. The Big Bang Theory (TBBT pour faire court) est une série très à la mode car basée sur des geeks… j’irais même jusqu’à nerds, voir no-life. Parce que ceux-là ils sont vraiment graves. On a donc Leonard, un mec très intelligent, surdoué même, trentenaire, chercheur de haut rang dans une université, nerd, coincé et pas très sociable, mais extrêmement sympathique et touchant. Il vit en colloc avec Sheldon, un grand maigre vraiment très surdoué, mega-intelligent, complètement coincé, socialement inadapté, rempli de TOCs et de dérangements divers. Il y a leurs deux potes, le lourdaud frimeur mais râté Howard et l’indien coincé incapable de parler à une femme Raj. La série commence quand Leonard et Sheldon ont une nouvelle voisine de pallier, la blonde, légère et bimbo Penny. Bien entendu, face à la situation de nos coincés de service, la présence de cette fille légèrement vêtue et très ouverte vas être un véritable choc. Leonard n’a plus qu’une envie : sortir avec elle. De là vont s’enchaîner situations rocambolesques et conflits d’opinions plus ou moins tordus.

Nos 4 gars sont de véritables obsédés de haute technologie. Au programme, Halo Nights, virées de paint-ball, collectionnite d’objets inutiles, comics et figurines versions mint, règlement de comptes en combattant sur Wii Sport, expériences diverses, etc. Le tout combiné avec les spécificités de chaque persnnage. Et ce sont ces personnages qui font le charme de la série. Malgré tous leurs défauts, Leonard et Sheldon deviennent vite attachants. Le premier pour sa timidité, son côté touchant de douceur, sa gentillesse, sa volonté de faire bien, etc. Sheldon est un grand enfant avec le cerveau d’un génie, incapable de s’intégrer seul à la société. Penny se retrouve complètement à l’opposé ; légère, insouciante, serveuse dans un resto, rien en commun avec ces types. Et tout se construit sur cette opposition.

Nombre de gags nécessitent un tout petit peu de culture geek pour être assimilés à fond (sans compter la foultitude de détails délirants y compris et surtout dans les fringues), mais la série n’est pas réservée aux nerds accomplis ; d’ailleurs, en comparant les séries geeks, je trouve celle-ci plus sympa que The IT Crowd. En fait, c’est une ode au geek pour montrer ses bons côtés aux autres membres de la société. Parce que finalement Leonard apparaît comme le mec le plus gentil et sympa de l’histoire ; le dernier épisode est emblématique là, et je me réjouis de voir ce que cette situation va donner en 2eme saison.

Une série très agréable, très drôle, divertissante, bardée de bonnes idées. Un sentiment qu’un jour ou l’autre on risque fortement de tomber dans la répétition et le déjà-vu, mais pour le moment c’est du tout bon. On va voir ce que les scenaristes nous prévoient comme nouveautés pour maintenir le rythme et la qualité de cette belle mécanique.

Note : les personnages sont excellents, en VO en tout cas. Mais je ne peux que très fortement conseiller les sous-titres, parce que ça va vite, parfois même très vite, et c’est bardé de termes pas toujours très accessibles.

Allez, pour a route, quelques exemples valent mieux qu’un long discours :


3 réflexions sur « The Big Bang Theory – saison 1 »

  1. Bienvenue au club, l’ami! Avec quelques saisons d’avance, je confirme, c’est toujours aussi bidonnant, déjanté, geek et scientifiquement valide. Incontestablement ma série préférée (sans compter Dr Who bien sûr que Sheldon regarde d’ailleurs tous les samedi matin à 6h20 si j’ai bonne mémoire)

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