Depuis la première bande-annonce, j’étais extrêmement fébrile et j’attendais avec une impatience non négligeable le visionnement d’Inception. Mais bon, les emplois du temps étant ce qu’ils sont, je n’ai pu le voir que tout récemment. L’attente a été bien longue, mais récompensée par un putain de très bon moment devant ce film. Bon, OK, je suis pas objectif, je suis fan de M. Nolan. Le premier film que j’aie vu de lui c’est Memento. Puis il y a eu Insomnia, Le Prestige, Batman Begins et The Dark Night (manque Following à mon plamarès donc). A chaque fois je me suis éclaté. Cette fois donc, Nolan part dans le thriller à tendance SF bien tordu et alambiqué ; d’un autre côté, avec lui, on tombe rarement dans la simplicité. Et ça faisait genre 10 ans que le bonhomme réfléchissait à ce scenario et le mettait gentiment en place. Alors fatalement, Inception ne se laisse pas juste regarder facilement, on rentre dedans et on part dans un autre monde, les méninges s’emballent et on ne peut que se poser de multiples questions et échafauder des théories sur le pourquoi du comment. En comptant que Nolan ne nous répond pas vraiment, le salaud. Volonté artistique? Provoc? Envie de faire parler de son film? Reste que la blogosphère est friande de ce genre de chose et que le sites tentant d’interpréter et décortiquer Inception sont légion. En tout cas, retenons que l’on a ici une leçon de très bon cinéma.