C’est en faisant ma petite bafouille sur Sonic Highways l’autre jour que je me suis rendu compte du peu de billets « musique » de ces derniers temps. Et pourtant en 2014 j’ai écouté et découvert tout un tas de belles et bonnes choses qui passent bien dans les cages à miel. Mais sans prendre le temps de vous en faire part, ce qui est bien dommage. Je profite donc de cette fin d’année (et du début 2015) pour vous parler d’albums que j’ai bien aimé cette année, parfois des artistes tout frais débarqueés et parfois des anciens, mais que des trucs que je vous conseille d’aller écouter.
Et on commence la liste avec Antemasque et leur premier album éponyme. Rien que l’annonce de la formation du groupe avec son line up avait de quoi te faire muter dans ton slip… Continuer la lecture de Antemasque
Politique
Et hop, voici un double billet « série » et « musique » pour parler de Sonic Highways, le huitième album des Foo Fighters. On ne présente plus ce groupe emmené par Dave Grohl et monté au firmament du rock, une référence, un mythe. Après le très bon Wasting Light, cet album était vraiment attendu. Surtout avec la manière dont il a été enregistré. Le groupe est parti sur une façon de faire un peu particulière puisque chacun des 8 titres a été enregistré dans une ville différente, dans un studio particulier avec son histoire, son son, ses références, en se plongeant à chaque fois dans l’histoire musicale de la ville en question, invitant la plupart du temps des musiciens locaux en guest. En est sortie une série diffusée autour de la sortie de l’album, elle aussi intitulée Sonic Highways, et qui se voit comme une espèce de musée de la culture musicale américaine, de la Nouvelle Orléans à New York en passant par Seattle ou Los Angeles, les influences sont diverses, et on se plaît à (re)découvrir les groupes et musiciens emblématiques du jazz, du blues, du rock, du metal, du hip hop, du funk et autres. Des gens qui ont jalonné et façonné notre culture musicale contemporaine au cours des décennies passées.
Cela faisait un petit moment que je n’étais pas allé au