Jeu de rôles : les problèmes posés par la science-fiction

Yop ça y est, je me suis remis au taf sur ExtReM_37! Bien que mis au repos forcé pendant un temps un peu trop long pour cause de mémoire et autres éléments de Vraie Vie, le projet n’a jamais été mort. Bien au contraire, je n’ai jamais cessé d’y réfléchir. Entre cette pause et les mésaventures d’éditeur, il y a certes eu une baisse de motivation et de rythme de travail. Mais bon, l’ouvrage est de retour sur le métier, pour une ligne droite que j’espère être la dernière. Et j’ai ouvert la discussion à d’autres gens qui n’avaient pas encore mis le nez dedans, histoire d’avoir un œil extérieur. D’une part il y a tout un boulot sur le système, qui va mériter qu’on s’y attarde longuement. D’autre part il y a le background, qui certes en général plaît, mais qui pose quelques soucis ; en cours de partie d’ailleurs, j’ai du quelques fois improviser sur certains éléments. On voit que la SF avec sa haute technologie, apporte des questions toutes particulières. Je renvoie rapidement aux billets du copain Alias, qui a joliment l’habitude de traiter de la SF quand même, Jouer science-fiction, c’est dur! et Jouer science-fiction, c’est facile! ; un diptyque aux titres volontairement provoc, mais qui rend bien certaines questions légitimes. Continuer la lecture de Jeu de rôles : les problèmes posés par la science-fiction

Revue de web – S02E25

revue_de_webCulture

Il a l’air d’envoyer du bois, ce nouveau Riddick.

Un nouveau délire paranoïaque dans les DRM pour ebooks : changer le texte pour le rendre unique à chaque fois. C’est complètement débile!

Un vrai film LEGO officiel.

Nouvelle bande annonce pour The World’s End, et j’aime.

Jeux

The Evil Within, il fait super envie.

L’annonce d’un nouveau Days of Wonder, toujours un événement. Continuer la lecture de Revue de web – S02E25

Lord of War

LOWCoverTiens, aussi surprenant que ce soit, je suis tombé l’autre soir sur un très bon film à la télé (oui, je parle de la télé en direct, pas d’un DVD ou d’un download ou autre). C’est rare, mais ça fait du bien. Un film dont j’avais beaucoup entendu parler mais jamais vu, et je me suis dit qu’il était temps de remplir ce vide dans ma culture. J’ai donc regardé Lord of War, un film de 2005 de Andrew Nicol (celui du très bon Gattaca et du sympathique In Time). Le réalisateur s’est ici inspiré de faits réels, en combinant divers trafiquants d’armes dans le monde, pour créer le personnage de Yuri Orlov, ukrainien arrivé enfant aux USA avec une famille se faisant passer pour des Juifs persécutés. Yuri ne se contentera pas de petits boulots et il saisira une première opportunité de vente d’armes pour rentrer dans le business, y entraînant son jeune frère Vitali. La fortune va venir assez rapidement. La gloire et la renommée aussi, faisant de Yuri le plus grand trafiquant d’armes, au bénéfice d’un véritable empire planétaire. Traqué par les hommes d’Interpol, il se jouera des lois en les contournant avec une facilité déconcertante. Sa tchatche et son talent pour les relations humaines feront de lui un milliardaire. Le film va donc suivre Yuri, ses bonnes affaires, ses soucis, ses amours, sa famille, et ce jusqu’à sa perte. Le tout est raconté en voix off par Yuri qui nous explique toutes ses prises de position. Continuer la lecture de Lord of War

Hero Corp

hero_corp_s1Dans la famille Astier, il y a du beau monde, rien que du très talentueux en fait. Certes Alexandre est le plus connu, essentiellement par son Kaamelot, mais il ne faudrait pas oublier les autres. A commencer par Simon, le jeune demi-frère, que l’on avait vu dans le pré-cité Kaamelot, mais qui s’y entend aussi fort bien à créer ses propres trucs.

Avec son pote Alban Lenoir, Simon Astier a créé Hero Corp, une série qui part sur un principe assez simple : les super-héros à la retraite sont tranquilles dans un petit village paumé de France, loin de tout, voyant leurs pouvoirs décliner. Le retour de The Lord, super-vilain emblématique qui les a mis à mal des années auparavant, les oblige à prendre une mesure drastique : ils font venir dans leur village un « civil » (= pas un super-héros) du nom de John, qui devrait, d’après une vision, les délivrer et sauver le monde. Hero Corp débute donc avec ce John, dont on ne sait rien, qui débarque dans ce bled perdu suite à l’annonce du décès de sa tante qui y réside ; il a été élevé par elle mais est parti depuis de nombreuses années et n’a pas entretenu le contact, il ne sait rien de ce qui se trame ici. Très vite, John va s’apercevoir de trucs louches, en particulier du comportement on ne peut plus bizarre des habitants. Il va se retrouver mêlé un peu par hasard à l’histoire avec The Lord et les choses vont s’accélérer. Continuer la lecture de Hero Corp

mon blog avec mes photos, mes jeux, mes créations et tout…