Marathon photo 2011

Quand mon pote Yan m’a proposé de former une équipe pour ce deuxième marathon photo, je n’ai pas réfléchi trop longtemps. L’idée? Trois thèmes, avec à chaque fois deux heures pour aller prendre des clichés. Chaque équipe ne peut rendre que deux photos par thème. Pas loin d’une centaine d’équipe pour cette journée sympathique et ensoleillée. Et on s’est bien amusés.

Je vais pas vous détailler ma journée, rassurez-vous, je vous signale juste que, sur ma galerie photo, vous pourrez trouver les photos que j’ai effectuées, sur les thèmes « Sens dessus-dessous » (oui, c’est un « e » dans le premier mot) et « La ville de Lausanne et l’eau ». je n’ai pas remis les photos du premier thème. C’est du brut de décoffrage sans traitement ni recadrage.

Neuilly sa mère

L’autre soir on est tombés à la télé sur ce film dont j’avais entendu beaucoup de bien. Et bien je confirme, il y a encore de très bonnes choses qui passent à la télé. Sur le papier, Neuilly sa mère ne paye pas de mine… Samy doit quitter sa banlieue de Châlon où sa mère veuve ne peut plus s’occuper de lui et va vivre chez sa tante à Neuilly, d’où évidemment un choc des cultures assez flagrant. D’autant plus que la famille en question est vraiment riche, bourgeoise, à droite, etc. Bref, un truc très classique qui ne semble pas aller très loin. Et pourtant ce film est une petite perle, remplie d’humour et d’émotion.

Le film tient à sa galerie de personnages typés qui vont bien entendu déclencher les situations rocambolesques du film. Samy est adorable ; le petit Samy Seghir qui l’interprète est parfait, touchant, un gamin des cités qui se trouve plongé dans un autre monde où tout va contre lui. Il y a sa tante, Djamila, un femme forte qui a su s’adapter à Neuilly sans perdre ses racines (j’adore quand elle règle ses affaires « à l’algérienne »). Charles le fils sarkozyste qui rêve de devenir président de la République, est membre de l’UMP, un superbe petit con. Marie la fille gauchisante faussement anarcho-socialo-écolo-rebelle qui ne veut qu’emmerder son paternel. Stanislas le père donc, homme d’affaire qui se fait marcher dessus par à peu près tout le monde. Ajoutons encore la gentille première de classe avec le cœur sur la main, la belle musicienne qui fait craquer tous les mecs de l’école, la bande de blondinets qui se la racontent de manière ridicule, les trois de la racaille de la cité d’à côté, Balasko en directrice d’école teigneuse, Lemercier en ex-femme de Stanislas outrageusement chiante, et toute une galerie de personnage souvent très archétypiques mais vraiment à leur place. Continuer la lecture de Neuilly sa mère

La petite soirée jeux du mois

Hier, Ch’piil tenait sa dernière soirée jeux de la saison à Malley. L’occasion d’aller avec mon fils tester 2-3 petits trucs ; et comme toujours de très bonnes surprises. Au programme donc : des grosses baffes, des tapis, des tours, des monstres, des babouches, ou encore des enchères. Assez varié donc, et surtout beaucoup de plaisir. Je remercie au passage les deux personnes, dont j’ai certes oublié les noms, mais qui nous ont expliqué les règles de deux des trois jeux. Je remercie encore une fois Ch’piil aussi pour leur organisation sans faille, leur disponibilité et leur passion du jeu, tellement communicative. Que du bonheur!

Notons que ce fut une belle soirée pour moi. Bien que je cherche à jouer pour le plaisir du jeu en premier lieu, il n’est pas désagréable de remporter toutes les parties. J’ai vraiment été trop fort, muhahahaha!

Petite revue de détail…

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The Green Hornet

Les films de super-héros sont légion ces temps et ça va pas aller mieux avec ce qui se prépare . Là j’ai pu mettre la galette de The Green Hornet et me délecter de ce film vraiment sympa. The Green Hornet, c’est donc la vo du Frelon Vert, une série dont j’ai quelques vagues souvenirs parce que j’avais pas tellement suivi, mais qui avait eu le mérite de bien faire découvrir Bruce Lee en Occident, c’était en 1966 (je découvre d’ailleurs que c’était déjà tiré d’un feuilleton radiophonique). On garde le même pitch de base. Britt Reid, riche héritier d’un grand journal, prend le masque et joue le justifier vengeur, soutenu par son fidèle Kato, expert en arts martiaux (entre autres). Le Frelon Vert est souvent perçu comme un criminel par la population mais son but est de mettre les méchants hors d’état de nuire. Revenons donc plus en détails sur le film.

Britt Reid est un frimeur flambeur gosse de riche. A la mort de son père, il hérite du journal et de la fortune de ce dernier. Il laisse aller le journal. Et découvre Kato, un serviteur de son père, qui maîtrise à la perfection la confection d’un café exceptionnel mais qui est aussi un bricoleur de génie. Kato s’avère également un conducteur émérite et un expert en arts mariaux (tellement expert que l’on est à la limite du super-pouvoir). Mais les circonstances ainsi que la belle Lenore changent la mentalité de Britt qui se met dans la peau d’un héros masqué se chargeant de débusquer les criminels. Avec l’aide de Kato, sans qui il n’arriverait à rien, Britt va défendre la veuve et l’orphelin, passant lui-même pour un criminel parfois. L’histoire va se complexifier un tout petit peu, relier des fils, y mêler la mort du père, une love-story, des sentiments amicaux qui ont des hauts et des bas. Et surtout de l’action. Bastons, course-poursuites, et encore bastons. Ce film balance dans tous les sens, ça y va.

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mon blog avec mes photos, mes jeux, mes créations et tout…