D’où vient l’argent de la politique en Suisse?

Je vais surfer sur un sujet à la mode mais qui me titille depuis longtemps. Je dis « à la mode » parce que y’a quand même trois petits articles qui me sont tombés dessus à ce sujet récemment. Il y a d’abord le billet de Piques et répliques « Démocratie corrompue » qui m’a amené à l’Hebdo et un édito « Démocratie modèle et omerta » ; et aussi un article de Domaine Public « Publication des revenus des parlementaires : nouveau refus ». Bref, vous l’aurez compris, j’aimerais parler de politique et de (gros) sous. Sujet certes polémique mais Ô combien révélateur.

Continuer la lecture de D’où vient l’argent de la politique en Suisse?

Raiponce

Raiponce, c’est la cuvée fin 2010 de chez Disney. Adaptation libre du conte des frères Grimm d’origine, ce film d’animation raconte les aventures de la belle Raiponce à la chevelure magique qui permet de guérir et de soigner tout, y compris le vieillissement, enfermée dans une tour par une vieille sorcière aigrie qui profite de ce pouvoir. Un beau et jeune bandit au grand cœur recherché par toutes les troupes du coin trouve refuge dans cette tour et se retrouve embarqué dans la volonté de fuite de la belle. On trouvera donc évidemment de l’aventure, de l’humour, de l’action et de l’amourette dans ce film plutôt pas mal du tout. Disney se modernise en nous proposant une femme forte et de caractère plutôt que le cliché de la princesse qui suit son amour (bon, OK, La Princesse et la grenouille nous présentait déjà ce genre de situation). On a un film plus adapté à notre époque. Par contre, là où on revient en arrière, c’est dans les chansons. Eh oui il faut à nouveau se farcir les complaintes gnangnan dont la firme à Mickey affuble la majorité de ses longs métrages. Dommage. Parce que le reste est fort sympathique, franchement. Sans être aussi bon que certains autres Disney tels Aladdin ou Hercules, ce Raiponce est un bon divertissement avec son lots de moments sympathiques.

Continuer la lecture de Raiponce

Buried

Alors là, ça claque. Ce Buried est tout simplement une superbe performance de cinéma. On en connaît des scènes d’enfermement/enterrement vivant, films et séries en ont toute une série. Mais de là à en faire tout un film, il fallait oser. Parce que oui, on passe 1h30 enfermés sous terre dans ce cercueil avec le pauvre type qui y est. Pas d’autre décor. Pas d’autre acteur. Rien. Le type est un chauffeur pour contractant privé américain en Irak enlevé et enfermé là-dedans. Avec un zippo. Et un téléphone cellulaire dont la batterie est à moitié vide (et qui permet quand même des interventions extérieures mais uniquement vocales, pas un seul plan au-dehors). Du début à la fin du film, on ne voit que l’intérieur du cercueil. Sur le papier, ça peut sembler chiant comme la mort et le genre de truc à tourner en rond bien pénible. Eh bien pas du tout. C’est une petite tuerie que ce film. Au passage, comme le pitch l’indique, c’est un film complètement déconseillé au personnes claustrophobes ; mais alors complètement de chez complètement.Parce que moi je ne le suis pas, et bien j’ai joliment flippé tout seul dans le noir devant mon écran. Parce que oui pour tirer le meilleur parti de ce film, il faut le voir dans des conditions bien adaptées (et du coup j’ose pas imaginer sur grand écran).

Continuer la lecture de Buried

La nouvelle précarité : ça nous regarde – Domaine Public

Je me permets de vous reproduire ici un article du site Domaine Public, que vous trouverez sous le titre « La nouvelle précarité : ça nous regarde – Domaine Public« . Je n’ai rien à y ajouter (vu que j’ai déjà étalé mon opinion sur le sujet dans plusieurs billets), mais j’en appelle encore une fois à l’esprit de solidarité des Vaudois et à leur refus de l’égoïsme…

 

Les Vaudois vivent un débat boiteux, économique et politique. L’objet en est la LPCFam, Loi sur les prestations complémentaires cantonales pour familles. Son but : soustraire à l’aide sociale et plus largement à l’indigence des familles qui même en travaillant ne gagnent pas un revenu suffisant pour couvrir leurs besoins vitaux. Rien qui ne soit louable, le projet valorisant le travail plutôt que la dépendance.

Continuer la lecture de La nouvelle précarité : ça nous regarde – Domaine Public

mon blog avec mes photos, mes jeux, mes créations et tout…