Hostel

L’autre soir, je repassais. Et quand je repasse, j’aime bien mettre un truc à deux balles à la télé, qui me demande pas trop de suivre et qui me fasse juste de la distraction. Et là je suis tombé par hasard sur Hostel, je me suis dit que j’allais voir ce qu’il en ressortait. Y’a pas de raison, après tout dans l’ensemble y’a du bon dans le gore et j’ai eu de très bonnes surprises plus (par exemple le premier Saw qui était une bonne réussite) ou moins récemment (que de bons souvenirs de Braindead par exemple). Alors j’ai regardé Hostel. En plus y’a Tarantino à la production, je me suis dit, donc cool, gage de qualité en général. Effectivement, « en général », y’a toujours des exceptions.

Donc Hostel nous narre cette aventure de deux jeunes ricains qui font un voyage à travers l’Europe avec le but simple et avoué de faire la fête et de se tirer un max de filles. En route ils ont rencontré un islandais qui voyage avec eux. Tout commence à Amsterdam, ville tout de suite montrée comme ze lieu de débauche, le pire truc au monde avec des joints et des putes à tous les coins de rue. Après quelques plans culs et filles plus ou moins à poil, on passe un peu vers « l’intrigue » du film, à savoir un type de l’est qui leur parle d’une auberge de jeunesse dans la région de Prague où ils pourraient coucher avec toutes les plus belles filles facilement. Pour nos gaillards qui envisageaient l’Espagne, ça va changer la donne. Mais bon, il est logique de suivre ainsi les conseils d’un inconnu vous envoyant dans une zone inconnue où vous parlez pas la langue, un trou perdu qui plus est. Bref, nos trois gros naïfs embarquent pour se rendre là-bas, et paf oui les filles sont superbes, deux en particulier qui redonnent l’occasion de deux-trois plans culs et filles dénudées. Jusqu’à ce que l’un des voyageurs disparaissent, puis un autre, et qu’on passe enfin au gore gratuit qui est le but du film puisqu’ils sont là pour être torturés et démembrés Continuer la lecture de Hostel

Wikileaks et Assange, liberté d’expression et procès…

Waouw, c’est le grand branle-bas de combat ces jours… On entend tout et son contraire. Suite à une nouvelle publication polémique sur Wikileaks, Julian Assange est devenu une sorte d’ennemi public n°1, en particulier pour les Etats-Unis. Mais bon, quel lien avec son arrestation/emprisonnement actuel? Je trouve qu’il y a un grand mélange de deux choses qu’il ne faut pas confondre.

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Sons of Anarchy – Saison 03

Troisième saison pour les bikers de Sons of Anarchy. Et toujours autant de bonheur. Le programme est toujours aussi peu réjouissant du point de vue du club, puisque les tuiles ne cessent de s’amasser sur leurs têtes, genre qu’ils n’auront plus à craindre la moindre averse. je sais pas ce que ces gars ont fait dans leurs vies antérieures, mais ils ont visiblement accumulé une quantité non négligeable de mauvais karma. A croire qu’ils sont l’incarnation même du pas de bol et que tout leur tombe dessus. Quand on croit avoir atteint le fond, les scénaristes nous en rajoutent sadiquement une couche. Le gang va s’épauler et passer au travers de tous ces mauvais pas. Au programme de la série, comme dans les saisons 1 et 2, bastons, morts, blessures, attaques psychologiques, coups fourrés, mensonges, revirements de situations, alliances et trahisons. Bref, c’est toujours aussi dur et sombre.

J’irais même jusqu’à dire, point limite noir de la saison, que c’est parfois too much. Trop de problèmes, pas de possibilité de sortir la tête de l’eau pour respirer, une impression de s’enfoncer sans cesse dans des trucs insolubles qui ne peuvent avoir comme conclusion que quelque chose de violent, méchant, et sanglant (Gemma est une assez bonne prophétesse d’ailleurs). Avec un personnage comme Stahl, archétype de la peau de vache complète pour qui tous les moyens sont bons, nos bikers ont vraiment une nemesis aux bras très longs.

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Doctor Who, saison 1 (2005)

Encore un truc qui m’avait échappé durant des années et sur lequel je me suis lancé (c’est fou tout ce que l’on peut voir comme séries et films quand on a un bébé qui dort mal). Bref, me voici donc sur Doctor Who, série adulée par nombre de geeks. Alors attention, je parle ici de la nouvelle version. Parce que cette série est une des plus longues au monde, avec des épisodes sortis déjà en 1963 (ça nous rajeunit pas tout ça) ; et cette première mouture a duré jusqu’en 1989! J’aime mieux vous dire que ça fait une terachiée d’épisodes. Mais là je parle de la nouvelle mouture, débutée en 2005.

La série nous narre les aventures du Docteur, un Maître du Temps, et même probablement le dernier survivant de cette race. Il voyage dans l’espace et le temps à travers les galaxies et les millénaires à bord d’un engin particulièrement puissant et étonnant, le Tardis. Et en général, là où il va, les aventures et les dangers l’y retrouvent et il a tout intérêt à se bouger s’il veut sauver des gens/le monde/la galaxie/une espèce/etc. A noter qu’il est accompagné d’une humaine rencontrée dans le premier épisode, la jeune et jolie Rose.

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