La quadrilogie Die Hard

Petit plaisir, je me suis refait toute la quadrilogie Die Hard (avec donc Die Harder, Die Hard with a Vengeance et Live Free or Die Hard). Y’a pas à dire, ça fait du bien de voir du bon film d’action bien posé. Rhaaa, quel bonheur de retrouver cette première rencontre avec John McClane à l’aéroport de Los Angeles ; il avait encore des cheveux et était nettement moins baraqué. Et sa rencontre avec Argyle. Et cette arrivée au Nakatomi Plaza. Et puis bon ce moment où tout vire, et où McClane devient vraiment le « wrong guy at the wrong place at the wrong time ». Le type qui a pas de bol. C’était à la sortie du deuxième que j’avais lu dans une critique que McClane avait tellement pas de bol qu’un jour il trouverait des terroristes en ouvrant son frigo. Remarque contredite par le 3eme opus puisque là McClane est visé directement.reste que McClane a un sacré mauvais karma…

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The Expendables

Là, j’ai vu The Expendables. Ben y’a pas à dire, c’est de sacrés bourrins les gars. Bon, OK, fallait s’y attendre et c’est pour ça qu’on regarde ce genre de film. Mais là c’est franchement très fort. Evidemment, quand Stallone réunit autour de lui une petite bande assez représentative pour un film qui se prend le chou, ça donne pas dans la dentelle (quoique, la manière dont certaines mitrailleuses lo9urdes déchiquettent ceux d’en face, ça fait un peu découpage type dentelle, mais bon). Alors ouais ce film c’est avant tout et surtout une histoire de casting… Sylvester Stallone, je l’ai dit (à la réalisation aussi), toujours avec les muscles mis en avant et prêt à tremper le maillot. Mais aussi une belle brochette à ses côtés. Jason Statham, toujours aussi peu expressif et toujours aussi rentre-dedans. Jet-Li qui vient nous rappeler qu’il n’y a pas que les mitrailleuses dans la vie et que le kung-fu ça paye encore. Dolph Lundgren encore plus archétypique que les autres en énorme bourrin qui n’en veut. Eric Roberts parfait en méchant manipulateur sans scrupules. Mickey Rourke qui se plaît de plus en plus dans des rôles de loques. Bruce Willis qui se la joue subtil de service via son poste de commanditaire (et qui apparaît peu du coup). Et même El Governator Schwarzie pour une scène d’anthologie aux répliques qui claquent.

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The Mist

Avec The Mist, c’est encore une adaptation d’une nouvelle de Stephen King qui nous est arrivée, et par un habitué des adaptations de l’auteur, à savoir Frank Darabont. Pendant des années, j’ai été très très fan de King, je trouvais qu’il savait mener des trucs vachement bien ficelés, que ce soit dans des nouvelles plutôt courtes (celle-ci par exemple) ou des romans plus ou moins longs. J’en suis un peu revenu (indigestion peut-être), mais reste que le monsieur sait y faire pour aller chercher ce qui fait vraiment frémir, utiliser les peurs naturelles de l’Homme, transformer des éléments courants en sources d’horreur ou aller chercher la noirceur au plus profond des êtres humains. Tous ces thèmes se retrouvent d’ailleurs dans ce film très sympathique.

Après un orage, une brume envahit une petite ville américaine, une brume étrange et opaque. Un groupe de gens dans un supermarché s’y voient coincés lorsque la brume s’avère renfermer des monstres qui ont la fâcheuse tendance de se servir des Humains comme de repas, si possible à grand renforts de cris terrifiants et de quelques effets gores.

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