Revue de web – S01E41

Eh oui, encore une semaine sans revue de web pour cause de vacances AFK. Mais bon, me voici de retour avec quelques liens de la semaine passée quand même, plus ceux de cette semaine.

Jeux

C’est officiel, le jdr Cobra est sur les rails chez Pulp Fever.

Korben donnerait lieu à son premier jeu appelé Hacking Party.

Le test de 007 Legends sabre allègrement dans mon optimisme précédent.

City of Horror est dispo, yes!

Qu’il a l’air bien, le jeu de cartes des Chevaliers de la Table Ronde, adaptation en plus light du fameux jeu de plateau.

Autre nouveauté qu’elle a l’air bien : Alcatraz the Scapegoat.

Une bande-annonce pour Bioshock Infinite qui me dit « achète-moi »Continuer la lecture de Revue de web – S01E41

Sur la piste du Marsupilami

Et voilà, avec mon fils qui l’a adoré au ciné, on a acquis Sur la piste du Marsupilami (j’aime beaucoup le nom de l’édition « jaune et jolie »). Et du coup je l’ai regardé. Ben bof quoi. C’est un peu du « Chabat et ses potes en roue libre qui délirent » avec tous les points positifs et négatifs que cela peut amener. L’histoire est celle d’un journaliste star dont la carrière est remise en question et ne tient qu’à un reportage génial qu’il doit faire en Palombie en allant rencontrer la tribu des Payas. Sur place, son guide sera un petit escroc local au grand cœur. En plus des Payas, ce voyage va permettre de rencontrer (dans le désordre et sans volonté d’exhaustivité) un animal jaune et poilu à la longue queue, un dictateur fan de Céline, un méchant vieux botaniste et sa gentille assistante, une bande de gamins des rues, des soldats et leur sergent fou furieux,… Une brochette de personnages délirants interprétés par tout un groupe de potes qui s’éclatent sur un scénario ultra léger. Le résultat comporte quelques scènes sympathiques, quelques trouvailles agréables mais reste décevant. Alors oui après un truc comme Astérix et Obélix Mission Cléopâtre, je suis peut-être devenu exigeant. Mais là je ne suis pas convaincu. Ou alors je suis blasé de cet humour. Certes Chabat s’auto-cite avec talent (la conduite sans les mains de la Cité de la peur ou le lama Ganja après l’âne Cannabis), mais justement on cherche plus les références au passé que les nouvelles créations. Continuer la lecture de Sur la piste du Marsupilami

Petits meurtres et faits divers

Ce jeu me faisait de l’œil dpeuis longtemps, et j’en avais entendu beaucoup de bien. mais comme je joue essentiellement en famille, avec un fils clairement trop petit pour rentrer dedans, je me disais que cela ne valait pas trop la peine de le prendre. Puis un jour j’ai craqué. mais il est resté longtemps sur mon étagère sans que l’on n’y touche car on était justement assez rarement le bon nombre. Ce n’est qu’au cours des soirées jeux de cet été que l’on a sorti Petits meurtres et faits divers. Et franchement ça a été une magnifique découverte et de très très bons moments passés autour de la table, avec beaucoup de rires et de bonne humeur.

Chaque joueur reçoit un livret. Il y a l’inspecteur qui reçoit un livret décrivant en 2 lignes le crime ou l’événement sur lequel il doit enquêter ainsi que la liste des suspects. Puis il y a les livrets des suspects, parmi lesquels il y a un coupable qui se cache, les autres étant innocents. Il y a aussi un greffier qui sera en charge du sablier et du contrôle des mots utilisés grâce à son propre livret. Les rôles tournent pour que chacun soit à son tour inspecteur, greffier, ou suspect (le coupable étant caché parmi ces derniers au hasard). Continuer la lecture de Petits meurtres et faits divers

Bioshock

Et voilà, dans le thème du rattrapage sur les classiques, j’ai enfin joué Bioshock. Ou plutôt j’ai enfin vraiment joué Bioshock. je l’avais tenté il y a quelques temps sur mon PC, mais les performances peu trépidantes de ce dernier ainsi que mon manque de temps m’avaient refroidi. Du coup, quand je l’ai trouvé à vil prix sur xBox, j’ai craqué. Grand bien m’en a pris, parce que je dois dire que c’est une petite merveille. Il repose sur la base très classique d’un FPS avec une grosse dose d’aventure. Bien que pas tout jeune et donc graphiquement pas au niveau des réalisations actuelles, il compense par un scénario bien foutu, une mise en scène superbe, un décor et un worldbuilding magnifiques, des possibilités géniales et une ambiance fabuleuse.

On est en 1960. Et notre personnage est dans un avion qui s’abîme en pleine mer. On parvient à nager jusqu’à un ilot duquel part un véhicule sous-marin qui nous permet de descendre… et de découvrir une ville sous-marine. Rapture qu’elle s’appelle. On découvrira très vite les premiers trucs officiels au sujet de cette cité magnifique mais complètement décadente construite par un richissime fou voulant créer sa propre zone de liberté loin des géants qui se disputent le monde pendant la la Guerre Froide. Rapture a vécu, Rapture est abandonnée, Rapture est livrée aux errances de fous furieux et en général dangereux. Rapture était aussi le lieu d’expérimentations et de développements génétiques au-delà de tout ce que l’on a pu connaître. Très vite, le personnage en profitera et on se baladera donc avec une arme et un pouvoir spécial utilisables. Tout au long du jeu, de nouvelles armes et de nouvelles améliorations génétiques vont permettre d’augmenter les capacités de notre personnage ; les armes sont également personnalisables et modifiables. Et le choix de modifications génétiques permet là aussi de customiser son personnage. Le tout dans une ambiance sombre, parfois glauque, dure, étouffante, éprouvante. Continuer la lecture de Bioshock