Et hop, avec mon grand gnome on est allés voir ce deuxième volet des Avengers (x-ième film de la licence à succès Marvel mais deuxième du nom), cette ère d’Ultron qui fait donc référence à un arc scénaristique des comics remis ici dans un nouveau cadre. Que dire sur ce film? Bon ben on en prend plein les mirettes pendant plus de 2 heures avec du grand spectacle à la pelle. Bastons, explosions, bastons, robots, bastons, punchlines, et bastons. Voilà le programme. Et même si on sait qu’on ne vas pas voir Avengers pour tomber sur un drame psychologiques profond, là on est presque carrément dans le léger. Le problème c’est que le fond de l’histoire aurait mérité un traitement plus long et plus abouti. Du coup le film se perd à vouloir expliquer et mêler des points assez solides et référencés de l’univers Marvel en faisant des ponts avec les autres longs métrages, mais de manière tellement condensée que le spectateur ne s’y retrouve guère. D’un autre côté, ne boudons pas notre plaisir, on a des héros qui dépotent et envoient des vannes face à une armée de robots cherchant à détruire le monde, et rien que ça, ben c’est ultra fun.
Le début du film est fortement lié à l’épisode qui vient de passer aux USA de Agents of SHIELD où Coulson annonçait qu’il était temps de sortir les Avengers du placard et où une diseuse de bonne aventure annonçait voir des hommes de métal détruire la Terre, rien que ça. Du coup le film nous plonge direct in media res au sein de l’action sans grande explication. On comprend vite que nos Avengers sont en mission dans un pays d’Europe de l’Est pour y attaquer une super-base d’Hydra et y récupérer un truc super important. Continuer la lecture de Avengers : Age of Ultron
Constantine fait partie de ces (trop) nombreux héros de comics que je n’ai jamais pris le temps d’aller découvrir sur papier, bien que j’en aie entendu parler en bien. Alors je tente de rattraper mon retard avec cette adaptation télévisuelle qui est fort sympathique. Bon, OK, selon les vrais fans, il y manque toujours quelques chose, et blah blah blah. Mais c’est bien quand même.
De temps en temps, ça fait du bien de se mettre devant un bon film d’action sévèrement testostéroné qui va droit au but (car oui ici on ne va pas parler d’un célèbre
Bon OK, les super-héros sont partout. Et Marvel en première ligne. Les cinémas sont inondés de films qui envoient du bois (et qui sont pour la plupart bons, voire très bons). Et notre petit écran est maintenant lui aussi soumis à leurs assauts. Pour certains c’est carrément la saturation. Pas pour moi, parce que j’aime et que ça m’éclate, et que cette option d’un univers super-large qui se retrouve de film en film en passant par des séries, ça fonctionne super bien.