China Miéville m’avait assez bluffé avec Perdido Street Station. J’avoue que le bouquin suivant se déroulant dans le même univers de fantasy-steampunk, the Scar, m’était un peu tombé des mains et j’avais vraiment de la peine (pour dire, je ne suis pas allé au bout). Mais j’ai remis le couvert avec un autre livre du monsieur, cette fois un polar vaguement contemporain intitulé The City and The City. Ce titre un peu bizarre explique le pourquoi « vaguement contemporain ». On est en effet dans une réalité un peu différente, en particulier pour ce qui est des lieux où se déroule le récit.