Un mois de boulot : petit état des lieux

Eh oui, un mois que j’ai commencé ce nouveau boulot… Cela mérite un petit retour en arrière.

La première chose que je veux dire, c’est ce que je réponds en général en premier quand on me demande comment ça se passe… Non seulement j’ai trouvé un boulot (ce qui est déjà pas mal vu la situation économique actuelle), mais en plus ja’i trouvé un boulot intéressant. Et là on touche au nirvana (enfin, presque). Parce que, contrairement à ma longue période chez Steg, je ne pars pas chaque matin en me disant que ça me fait chier d’y aller. Non, là j’ai envie, super motivé et tout. Faut dire que c’est motivant de voir qu’il y a quelque chose à faire… voire même beaucoup à faire.

En gros j’ai passé une bonne partie de ce premier mois à prendre mes marques. Rencontres avec les collègues, séances pour faire connaissance, prise de contact avec les dossiers (dont certains assez lourds et goûtus), etc. Déjà ça remplit pas mal. Après j’ai entamé les procédures administratives auxquelles je suis confronté, genre préaviser des demandes d’appartements subventionnés, vérifier des dossiers, ce genre de choses. Et en parallèle un gros travail sur la définition de la politique communale du logement, ce que l’on veut, ce que l’on aurait besoin. Reste après à voir ce que les autorités politiques en prennent et voudront voir appliquer, mais bon on a déjà posé ces bases. D’ailleurs ça fait bizarre de se retrouver de l’autre côté de la barrière, de se retrouver dans une administration, dépendant des décisions du Conseil communal.

En tout cas il y a de la matière et du boulot. Responsable de l’office du logement quand on voit la crise actuelle dans ce domaine (les taux de vacance des logements catastrophiquement bas, les loyers scandaleusement élevés, etc). Et je vois vraiment pourquoi cet office fait partie du service de la Sécurité sociale ; je suis confronté à des situations difficiles de gens cherchant à se loger sans que les gérances ne daignent les regarder, waow… Pas toujours facile. Mais au moins j’évolue dans un service où ma fibre sociale peut parler et où, en gros, mes idéaux sont adaptés. Donc c’est plus simple et plus motivant de bosser dans ces conditions. Ce n’est pas comme bosser en fermant le poing dans sa poche pour une direction qui ne me correspondrait pas.

En tout cas je me sens bien ici, j’ai l’impression que les choses avancent bien. Je me réjouis de faire avancer ces dossiers et je suis content d’avoir trouvé ce boulot…

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