 C’est avec un souvenir assez agréable (mais pas trop transcendant non plus) du premier film que je suis allé voir ce deuxième opus des aventures de Jack Reacher. La grosse différence ici avec le film précédent, c’est que le contrat de base du film d’action n’est pas rempli. Honnêtement je me suis ennuyé à plus d’une reprise sur ce Never Go Back. On reprend le personnage de Jack Reacher (ce héros de romans dont Cruise espérait faire une licence cinématographique à succès), ancien militaire surentraîné mais incapable de tenir dans le carcan de l’armée, qui se la joue justicier en voyageant incognito à-travers les Etats-Unis. Ici c’est l’accusation et l’arrestation de l’un de ses contacts qui va pousser Reacher à revenir à Washington pour démêler ce qui est censé être une belle machination mais qui n’a rien de folichon tellement c’est du déjà-vu. Alors oui on y trouve aussi cette gamine qui est ou n’est pas peut-être la fille de Reacher, histoire de rajouter une couche de sentiments et de tenter de donner de la profondeur au personnage.
C’est avec un souvenir assez agréable (mais pas trop transcendant non plus) du premier film que je suis allé voir ce deuxième opus des aventures de Jack Reacher. La grosse différence ici avec le film précédent, c’est que le contrat de base du film d’action n’est pas rempli. Honnêtement je me suis ennuyé à plus d’une reprise sur ce Never Go Back. On reprend le personnage de Jack Reacher (ce héros de romans dont Cruise espérait faire une licence cinématographique à succès), ancien militaire surentraîné mais incapable de tenir dans le carcan de l’armée, qui se la joue justicier en voyageant incognito à-travers les Etats-Unis. Ici c’est l’accusation et l’arrestation de l’un de ses contacts qui va pousser Reacher à revenir à Washington pour démêler ce qui est censé être une belle machination mais qui n’a rien de folichon tellement c’est du déjà-vu. Alors oui on y trouve aussi cette gamine qui est ou n’est pas peut-être la fille de Reacher, histoire de rajouter une couche de sentiments et de tenter de donner de la profondeur au personnage.
Mais le résultat est là, le film est assez raté. Dommage. Parce qu’il y a quand même 2-3 scènes d’action méritant presque le détour. Les techniques baston sont plutôt sympas et ça castagne bien, et il y a même une jolie course-poursuite. Mais ça ne suffit pas. Les éléments en jeu sont trop légers, les motivations trop faciles, les personnages trop basiques, on ne s’identifie à rien ni personne, les situations sont vues et revues. Oui j’ai baillé pendant un film d’action. Et pourtant je suis plutôt bon public en général. Le rythme ne prend pas, l’intrigue est trop plate, tout comme l’interprétation (Tom Cruise n’est pas à la hauteur de ce dont il est capable, Cobie Smulders est décevante, même le charismatique Robert Knepper ne fait pas d’étincelles). Surprenant quand on sait que Edward Zwick, le réalisateur, était à la barre du très sympathique Le Dernier Samouraï. Alors oui on a vu bien plus mauvais, mais franchement ce film est hautement dispensable. Dommage, parce que le personnage de Jack Reacher semblait avoir un vrai bon potentiel de héros bad-ass…
Heureusement que j’étais avec une bonne équipe, que les bières étaient bonnes et les burgers goûtus à souhait…
 Société
Société Ah Daredevil… Je me souviens avoir bien aimé ses aventures sur papier il y a pas mal d’années. Et cette série m’a permis de revenir vers lui. La série Daredevil est la première a avoir été lancée dans le cadre du partenariat Netflix-marvel, portant les aventures de certains héros, souvent moins connus, sur le petit écran. Le tout reste quand même lié aux films de l’univers cinématographique Marvel, et ce lien est rappelé dès le premier épisode où on rappelle que si certains quartiers de New-York sont en reconstruction, c’est suite à une invasion extra-terrestre et une baston mémorable avec des super-héros. Au milieu de ce bordel, il y a bien évidemment quelques mauvais esprits cherchant à tirer un profit important de ces reconstructions, et aussi des personnes souvent en détresse qui se retrouvent prises là au milieu.
Ah Daredevil… Je me souviens avoir bien aimé ses aventures sur papier il y a pas mal d’années. Et cette série m’a permis de revenir vers lui. La série Daredevil est la première a avoir été lancée dans le cadre du partenariat Netflix-marvel, portant les aventures de certains héros, souvent moins connus, sur le petit écran. Le tout reste quand même lié aux films de l’univers cinématographique Marvel, et ce lien est rappelé dès le premier épisode où on rappelle que si certains quartiers de New-York sont en reconstruction, c’est suite à une invasion extra-terrestre et une baston mémorable avec des super-héros. Au milieu de ce bordel, il y a bien évidemment quelques mauvais esprits cherchant à tirer un profit important de ces reconstructions, et aussi des personnes souvent en détresse qui se retrouvent prises là au milieu.