Oh! My! Fucking! God! Ça va devenir une habitude, mais je dois dire que Pixar m’a encore une fois balancé une baffe mémorable. Je suis ressorti de ce Vice-versa complètement retourné (ouais elle est facile, je sais). Waow!
Dans ce petit bijou de film d’animation, on va suivre Riley, une jeune fille de 11 ans, et plus particulièrement ce qui se passe dans sa tête où coexistent 5 émotions de base : Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût. toutes anthropomorphes, elle dirigent la vie de Riley par un pupitre de commande et créent ainsi les souvenirs contribuant à forger la personnalité de la jeune fille. Riley a donc 11 ans, aime sa famille, ses amis, faire des bêtises, jouer au hockey, bref une jeune fille comme les autres. Et quand un grand bouleversement secoue sa vie, et bien elle va réagir comme toute pré-ado, à savoir de manière relativement excessive et surtout pas évidente à décrypter pour son entourage. Nous allons suivre ceci au travers d’une aventure mémorable vécue par Joie et Tristesse. Tandis que dans la vraie vie, Riley subira des montagnes russes émotionnelles. Le film joue entre les deux univers, l’intérieur et l’extérieur, passant de l’un à l’autre avec une facilité déconcertante et liant le tout dans un système d’actions/réactions parfaitement maîtrisé. Et le plus incroyable, c’est la manière dont ce film basé sur les émotions en envoie plein la figure au spectateur sur le plan émotionnel ; eh oui, le fond et la forme se rejoignent magnifiquement. Continuer la lecture de Vice-versa
Le copinage n’a jamais tué personne, donc voici un petit billet sur Eternity Incoroprated du collègue auteur de jeux de rôles (on a bossé sur Capharnaüm) Raphaël Granier de Cassagnac. De la bonne SF bien foutue, intelligente, prenante et tout, ce fut une très bonne lecture.
Et hop, 10 épisodes pour nous faire avancer dans l’épopée de Westeros version télé. Et je dis bien « version télé » parce que maintenant c’est clair, il y a de fortes divergences entre les bouquins et la série. C’était annoncé, même les aficionados des écrits de GRR Martin ont été surpris, et plus que surpris, par des événements nouveaux, des morts qui n’avaient pas eut lieu, etc. Comme théoriquement l’auteur des livres a donné les clés de la fin aux auteurs de la série, ils avancent quand même vers le même but, et du coup on peut se dire qu’on se fait un peu spoiler les livres ; ben oui si on pensait le personnage Machin super important pour la suite et qu’il meurt dans la série, il y a en fait peu de chances qu’il soit si important que ça au dénouement. Du coup la saison nous conforte sur l’importance de certains et nous fait comprendre que d’autres, ben on en a rien à secouer finalement (en particulier le final de la saison qui m’a complètement troué le cul).
Alors que