Après le billet sur la saison 1, voici un seul billet pour les 3 saisons suivantes… parce qu’on les a regardées tellement rapprochées que j’avais pas le temps d’en causer entre chaque. Notre « sheriff » et ses relations tissées à Banshee forment une toile complexe. Il y a les amis de longue date qui savent qui il est. Il y a les nouveaux amis, connaisseurs de sa seule nouvelle identité. Il y a ceux qui lui en veulent directement. Il y a ceux qui foutent la merde à Banshee et vont le retrouver sur leur route. Et en plus comme toujours il a une tendance à ouvrir sa grande gueule au mauvais moment et/ou à agir de manière complètement irréfléchie. L’un dans l’autre, on obtient une accumulation d’emmerdes. Représentants de la loi et de la justice, autorités diverses, membres de la tribu indienne locale vivant dans leur réserve hors juridiction, dealers, criminels, bikers, voleurs, volés, militaires en goguette, tout un panel de personnalités assez marquées. Et notre héros qui doit composer avec ses vieux démons et toujours garder la façade de l’identité volée du sheriff.
La série garde son ton très adulte, avec toujours autant de violence et de sexe (pour ce dernier point, la quatrième saison est quand même un chouilla en retrait). Mais ce n’est clairement toujours pas pour les enfants de chœur et les âmes sensibles. Le ton reste donc le même avec une série plutôt sombre et dure (merci les punchlines de Job qui apportent leur dose d’humour). Continuer la lecture de Banshee – saison 2-3-4
C’est un peu par hasard que je suis tombé l’autre soir sur Homefront à la télé. Un film d’action écrit par Stallone (avec comme première idée d’en faire un dernier chapitre de la saga Rambo) avec Statham en héros bad-ass? Je prends et franchement c’était sympa. Sans grande prétention, on est ici dans le film d’action bourrin assumé, mais il réussit très bien son coup. On y suit un agent de la DEA très performant qui se retire après un gros coup, loin de tout. Il sort d’une grosse infiltration dans un gang et part à la campagne avec sa fille pour se refaire une vie tranquille. Mais comme dans
C’est avec un souvenir assez agréable (mais pas trop transcendant non plus) du
Ah Daredevil… Je me souviens avoir bien aimé ses aventures sur papier il y a pas mal d’années. Et cette série m’a permis de revenir vers lui. La série Daredevil est la première a avoir été lancée dans le cadre du partenariat Netflix-marvel, portant les aventures de certains héros, souvent moins connus, sur le petit écran. Le tout reste quand même lié aux films de l’univers cinématographique Marvel, et ce lien est rappelé dès le premier épisode où on rappelle que si certains quartiers de New-York sont en reconstruction, c’est suite à une invasion extra-terrestre et une baston mémorable avec des super-héros. Au milieu de ce bordel, il y a bien évidemment quelques mauvais esprits cherchant à tirer un profit important de ces reconstructions, et aussi des personnes souvent en détresse qui se retrouvent prises là au milieu.