Ceci est un billet estampillé « bouquins » et pas « séries » ; je ne vais donc pas vous parler de la série, mais bien d’un roman du même nom. Homeland est un bouquin de Cory Doctorow, et constitue la suite du très sympathique Little Brother. Je ne vais pas vous reparler de l’auteur ni du mode de distribution de ses livres ni des références à des librairies dans chaque chapitre, ça c’est la même chose que dans le billet sur Little Brother.
Homeland nous remet face à Marcus, quelques années après les événements du précédent bouquin. Il a un peu grandi, est moins ado et plus jeune adulte. Et on le retrouve au Burning Man ; d’ailleurs le livre commence comme une véritable fête aux geeks, mêlant des pans de culture fascinants avec dès les premières pages le Burning Man donc (un jour j’y irai), mais aussi l’EFF, Will Wheaton et D&D. Au milieu de toute cette folle agitation, de ce pur événement de contre-culture, Marcus va à nouveau se retrouver plongé dans un truc bien plus gros que lui, une terrible machination. A partir de là, il va tenter de tailler sa route au milieu des forces plus ou moins officielles qui sont à ses basques, et il va utiliser tous ses talents de hacker (au sens noble du terme) pour s’en sortir.
Jeux
L’autre jour j’avais des invités, on a décidé de se faire un petit jeu et du coup j’ai sorti une de mes nouveautés pas encore testées, à savoir Colt Express, le petit dernier de chez les Ludonautes. ce jeu de Christophe Raimbault est fait pour 2 à 6 joueurs (règles spéciales à 2 quand même), indiqué dès 10 ans (ça colle pas mal) et pour des parties d’une quarantaine de minutes.Il est joliment illustré par Jordi Valbuena dans un style un peu cartoon donnant le panache nécessaire à ce cadre de western très sympathique. Ici chaque joueur va prendre le contrôle d’un bandit se lançant dans le dévalisage de passagers de train avec fougue et passion, dans le but d’être le plus riche lorsque le train arrivera à la gare. Le tout utilise un système de programmation et de gestion de main vraiment bien foutu. A noter que j’y ai joué à seulement 3, et que le jeu me semble encore bien plus fun (et plus chaotique et bordélique) à plus de gens.
Bon ben pour commencer la critique sur ce film et pour simplifier, je vais reprendre ce qui a souvent été dit : on est effectivement en face d’un mélange entre Un Jour sans fin et Starship Troopers (deux films que j’aime beaucoup), humour et second degré en moins. Cette adaptation d’un roman de science-fiction japonais passé au format manga passe le tout à la moulinette hollywoodienne ; on m’a dit beaucoup de bien du manga, en particulier de sa fin différente et bien meilleure que celle du film, donc je me le mets en