Après le billet sur la saison 1, voici un seul billet pour les 3 saisons suivantes… parce qu’on les a regardées tellement rapprochées que j’avais pas le temps d’en causer entre chaque. Notre « sheriff » et ses relations tissées à Banshee forment une toile complexe. Il y a les amis de longue date qui savent qui il est. Il y a les nouveaux amis, connaisseurs de sa seule nouvelle identité. Il y a ceux qui lui en veulent directement. Il y a ceux qui foutent la merde à Banshee et vont le retrouver sur leur route. Et en plus comme toujours il a une tendance à ouvrir sa grande gueule au mauvais moment et/ou à agir de manière complètement irréfléchie. L’un dans l’autre, on obtient une accumulation d’emmerdes. Représentants de la loi et de la justice, autorités diverses, membres de la tribu indienne locale vivant dans leur réserve hors juridiction, dealers, criminels, bikers, voleurs, volés, militaires en goguette, tout un panel de personnalités assez marquées. Et notre héros qui doit composer avec ses vieux démons et toujours garder la façade de l’identité volée du sheriff.
La série garde son ton très adulte, avec toujours autant de violence et de sexe (pour ce dernier point, la quatrième saison est quand même un chouilla en retrait). Mais ce n’est clairement toujours pas pour les enfants de chœur et les âmes sensibles. Le ton reste donc le même avec une série plutôt sombre et dure (merci les punchlines de Job qui apportent leur dose d’humour). Continuer la lecture de Banshee – saison 2-3-4
C’est un peu par hasard que je suis tombé l’autre soir sur Homefront à la télé. Un film d’action écrit par Stallone (avec comme première idée d’en faire un dernier chapitre de la saga Rambo) avec Statham en héros bad-ass? Je prends et franchement c’était sympa. Sans grande prétention, on est ici dans le film d’action bourrin assumé, mais il réussit très bien son coup. On y suit un agent de la DEA très performant qui se retire après un gros coup, loin de tout. Il sort d’une grosse infiltration dans un gang et part à la campagne avec sa fille pour se refaire une vie tranquille. Mais comme dans
Et voilà, un bon pavé de lu. J’en avais pas mal entendu parler au sein de la fantasy française, et il faut dire que le contexte me tentait pas mal, placé dans la France historique à l’époque de Richelieu et des mousquetaires du roi, mais avec des dragons et de la magie. Ces Lames du Cardinal, de Pierre Pevel, sont en fait une trilogie dont j’ai lu l’intégrale directement. Et c’était bon. L’intrigue se déroule essentiellement à Paris. Au milieu des tensions internationales mais aussi internes, le cardinal de Richelieu reforme un groupe de guerriers/enquêteurs/espions d’élite qu’il avait dissous quelques années auparavant, les Lames du Cardinal justement. Chargé des missions les plus sensibles, ce groupe est un peu l’équivalent des « black ops » actuelles. En toute discrétion, ils vont devoir contrer un complot et défendre le roi et la France.
C’est avec un souvenir assez agréable (mais pas trop transcendant non plus) du