Dans Arrow on a vu apparaître à un moment Barry Allen, un spécialiste de science forensique bossant à la police de Central City. L’occasion de présenter le spin-off The Flash, nouvelle série en mouture 2014 donc (puisqu’il y avait une version au milieu des années 90, même que l’on retrouve ici plusieurs acteurs de l’époque, à commencer par le Flash de l’époque jouant maintenant le père du Flash actuel, dans une série qui s’amuse avec les voyages dans le temps, c’est pas simple).
Donc notre Barry Allen retourne chez lui dans le pilote de cette série et, suite à l’explosion d’un accélérateur de particules très spécial, se retrouve doté d’une vitesse folle. L’homme le plus rapide du monde. Non seulement pour courir mais aussi pour secouer ses fioles lors de ses expériences, pour bouger ses cordes vocales et changer sa voie, pour faire trembler son visage afin de ne pas être reconnu, etc. Un truc de fou qu’il lui faudra apprendre à maîtriser, ceci grâce aux scientifiques du labo qui a pété, la belle et jeune Caitlin, le jeune et geek Cisco (avec ses tshirts et références solides), et le génie Dr Wells. Barry va très vite décider d’utiliser sa vitesse pour combattre le crime, surtout lorsqu’il va réaliser que d’autres méta-humains sont apparus suite à l’explosion. Dans sa jeunesse, Barry a vu sa mère mourir dans une situation inexplicable, et son père a été faussement accusé du meurtre, il croupit en prison depuis. Barry vit donc chez un père de substitution, un flic, et il est amoureux de la très jolie fille du flic, mais sans jamais oser lui dire. Parce que Barry c’est un peu un intello introverti, un geek quoi. Bref, avec tout cela, la série va démarrer gentiment sur des histoires de « méchant de la semaine à mettre en cage » avant de voir se greffer dessus un arc scénaristique solide et complexe, incluant voyage dans le temps, manipulation, science de haut niveau, complot, méchant machiavélique et retournement de situation. Continuer la lecture de The Flash – saison 01
Comme l’indique son titre, la série Gotham se déroule dans l’univers de DC Comics, dans la célèbre ville du non moins célèbre justicier qui se prend pour une chauve-souris. Oui mais on s’y trouve bien des années avant ses activités, puisque l’événement déclencheur de la série est le meurtre de Thomas et Marta Wayne ; sauf qu’au lieu de l’ellipse temporelle nous renvoyant à Batman, on va vivre à cette époque. La série va suivre les pas du jeune James Gordon fraîchement arrivé, attitré à un coéquipier qui a de la bouteille et connaît la corruption locale. En parallèle, on va suivre les évolutions subtiles du monde de la pègre, avec des Falcone ou Cobblepot. On va retrouver les futurs Catwoman, Double Face, Pingouin, Poison Ivy et d’autres. L’histoire prend ici ses libertés avec les versions de DC Comics mais restitue une ambiance qui, à mon avis de lecteur pas ultra connaisseur, rend bien le Gotham-style. Luttes de pouvoirs, coups dans le dos, corruption à tous les étages, retournements de vestes, trahisons, mensonges, tous les éléments sont là. Et on se retrouve plongés dans une sorte de thriller, une série policière très sympathique dans une ambiance noire, et qui nous fait rencontrer dans leur jeunesse des personnages pour la plupart bien connus. Ce parti pris détonne dans l’alignée de films/séries de super-héros que l’on a ces temps, et tant mieux.
Après une
J’aime beaucoup Christopher Nolan. Le Prestige,