Bon OK, les super-héros sont partout. Et Marvel en première ligne. Les cinémas sont inondés de films qui envoient du bois (et qui sont pour la plupart bons, voire très bons). Et notre petit écran est maintenant lui aussi soumis à leurs assauts. Pour certains c’est carrément la saturation. Pas pour moi, parce que j’aime et que ça m’éclate, et que cette option d’un univers super-large qui se retrouve de film en film en passant par des séries, ça fonctionne super bien.
Donc Marvel sur petit écran, c’était déjà les très funs Agents of Shield. Mais voilà t’y pas que pendant la pause au milieu de la saison 2, on nous a balancé Agent Carter. Alors si vous avez bien suivi, l’agent Peggy Carter est cette militaire au caractère bien trempé qui a poussé Steve Rogers et l’a suivi dans sa transformation en Captain America, l’a accompagné dans ses aventures et en est tombée amoureuse. Une femme à poigne, une vraie, un personnage féminin fort. On l’a revue bien âgée dans Captain America 2. Mais la série nous renvoie à juste après la deuxième guerre mondiale. Le Captain est « mort », la guerre est finie, on retourne à la vie plus ou moins civile et Peggy Carter bosse pour le Strategic Scientific Reserve (S.S.R), une sorte d’agence de contre-espionnage. Continuer la lecture de Agent Carter
Et voilà, j’ai enfin pris le temps de me plonger dans le thriller de David Fincher (miam!) de 2014, ce Gone Girl vraiment prenant. Il nous raconte l’histoire de Nick Dunne, un homme avec une vie paisible et rangée, qui découvre que sa femme Amy a disparu sans laisser de traces. Il appelle la police et se retrouve très vite suspecté du meurtre d’Amy. Mais sans corps, pas d’accusation qui tienne, alors l’enquête va se lancer, s’enfonçant de plus en plus profondément dans la vie du couple, détectant les fêlures sous les apparences brillantes, appuyant là où ça fait mal et révélant les blessures accumulées. Les flashbacks et la lecture du journal d’Amy vont amener des éclairages particuliers pour enfin comprendre ce qui s’est réellement déroulé. Et si le twist de milieu de film est plutôt prévisible, voire attendu, la fin s’avère solide, sordide, bluffante.
Alors ici on arrive dans le vraiment solide. La série a bien mûri par rapport à
Quand j’ai reçu cette intégrale de la série Sanctuaire (en 3 tomes normalement), je me suis tout de suite dit qu’il y avait là-dedans de quoi me plaire… un sous-marin US ultra-technologique, un signal mystérieux, une crevasse sous-marine, un vieux sous-marin russe explosé, un sanctuaire englouti, bref ça fleurait bon l’ambiance tendue et le mystère bien poisseux, avec une dose de huis-clos. Résultat garanti, j’ai été servi. Le scénario signé Xavier Dorison (