Suivons ici les pas d’Assane, un homme qui vit en grand fan d’Arsène Lupin de cambriolages et de coups fourrés. Un criminel certes, mais avec un bon fond, et qui tente de faire les choses bien, s’en prenant à des salauds. Avec ses quelques alliés, il utilise ses multiples talents de déguisement, d’informaticien, de braqueur, pour commettre des larcins de très haut vol ; et pour débuter la série, le col d’un célèbre collier au Louvre sous haute protection, rien que ça. Il faut dire qu’Assane veut venger aussi son père, mort suite à de fausses accusations à son encontre. En suivant cette voie, il va rentrer dans le cadre d’une machination assez vicieuse menée par des gens de pouvoir aux grands moyens qui seront prêts à tout pour le faire taire.

Après une saison 4 haletante, on retrouve nos héros dans une sale posture, à savoir coincés sur un vaisseau spatial dans un endroit inconnu de l’espace, avec des extra-terrestres balaises qui asservissent les humains dans le coin. Et ils sont censés bien évidemment sauver la situation. En quelques retournements de situation, on va découvrir qu’il y a là-dedans des histoires de voyage dans le temps, de technologie puissante, de rencontre avec diverses races aliens, et surtout une destruction de la Terre.

Après Wandavision, Marvel enchaîne avec une autre série qui prépare la phase suivante du MCU, à savoir les aventures des acolytes de Captain America : le Faucon et le Soldat de l’hiver. Tous deux introduits au cours des films centrés sur Cap’, ils ont acquis une certaine profondeur et une certaine importance dans l’univers Marvel.

A la fin du fameux Endgame (ne lisez pas la suite si vous n’avez pas vu le film, ça va spoiler méchant), ils se trouvaient comme dignes héritiers du Captain, surtout Falcon qui s’était vu confié le fameux bouclier, tout un symbole. Quand la série débute, il ne se sent pas épaules pour endosser un tel symbole justement, et reste Falcon. Bien que les deux hommes ne s’apprécient pas trop, ils vont devoir faire équipe pour lutter contre une nouvelle menace, alors que le monde tente de se reconstruire après le snap de Thanos et l’antisnap qui a fait revenir tout le monde. Au cours de leurs aventures, ils vont devoir apprendre à porter le poids de l’héritage qu’ils ont reçu, le tout au cours de quelques épisodes bien chargés en action et en rebondissements.

Après une première saison explosive qui m’avait pas mal laissé sur le cul, Love, Death and Robots revient, mais en me laissant un souvenir moins impérissable cette fois. On retrouve le même concept, avec des studios d’animation qui ont carte blanche, sous la production de David Fincher et Tim Miller, pour créer des courts-métrages contenant comme thème au moins l’amour, la mort ou les robots. Seulement 8 épisodes au compteur pour cette deuxième saison, avec des hauts et des bas.