Le Dreamworks nouveau est dans les salles… et j’ai eu la chance d’aller le voir avec mon fils. Ben on a tous les deux passé un excellent moment.
L’histoire est celle de Barry B. Benson, abeille de son état, tout juste émoulu de l’université qui doit choisir son poste à la ruche… son poste, oui, celui qu’il occupera pour le restant de ses jours. Mais Barry n’est évidemment pas une abeille comme les autres, et il a envie d’aller voir ailleurs avant de choisir. Il décolle avec les « apollons du pollen » et découvre le monde extérieur avec entre autres ses nombreux dangers (balles de tennis et pare-brises par exemple). Mais surtout il va rencontrer une humaine qui va le sauver et avec laquelle il va rompre le premier commandement du code bourdon, à savoir ne pas parler aux humains. De là, la découverte de la commercialisation du miel sans paiement aux abeilles va bouleverser sa vie… et celle de tout l’écosystème de la planète. Mais bon, on ne va pas spoiler davantage.
Comme souvent chez Dreamworks, le film est rempli de sous-entendus, d’allusions, de seconds degrés, de références, comme par exemple le Larry King de service. Est-ce moi qui suis devenu pénible ou c’est une réalité? En tout cas, même si je me suis bien marré par moments, je ne trouve plus ces allusions aussi bonnes que dans leurs premiers films. On rigole, mais ce n’est plus des fous rires comme dans certains autres. Sans doute que ça aurait gagné sur la VO, mais avec le petit, c’était pas envisageable.
Un dernier mot sur l’aspect technique, évidemment de très haut calibre. Y’a pas à dire, le cinéma d’animation atteint vraiment un niveau exceptionnel. Textures, cheveux, poils, mouvements, vitesse, etc. Tout y est. Chapeau.