50 nuances de Grey

Jamie-Dornan-tombe-la-cravate-sur-son-poster-de-50-nuances-de-Grey_portrait_w532Comme avec Twilight en son temps, j’ai décidé qu’un peu d’honnêteté intellectuelle ne faisait pas de mal. J’ai donc perdu deux heures de ma vie pour pouvoir confirmer ce que je pressentais plus que fortement : ce film est à chier. Mais bon maintenant je peux clairement dire pourquoi. En fait il serait plus court de dire ce qui va bien là-dedans, mais ça reste difficile à trouver. Je vais donc rapidement expliciter quelques uns des points rendant le film si mauvais…

Scénario

Euh comment dire…? Sans être vulgaire… c’est vide. Convenu, rempli de stéréotypes même pas utilisés correctement. Lent, sans intérêt. En gros il ne se passe rien.

Rythme

Absent, c’est plat, morne, lent… long, très long.

Réalisation

Aussi plate que le rythme et le scénario (et que le corps de l’actrice principale). L’avantage, c’est que la forme rejoint le fond. Allez, on notera quand même quelques jolis plans sur la ville depuis les hautes fenêtres ou l’hélico. On est dans un truc lisse et sans saveur. Tellement plat que même les scènes les plus osées ne sont guère émoustillantes (il y a plus de nudité frontale dans un blockbuster hollywoodien grand public que dans ce film).

Acteurs

Acteurs? Où ça? Le film repose sur la relation entre deux personnages qui sont creux, mornes, lisses et inexpressifs. Alors bon du coup difficile de se sentir happé dans quoi que ce soit.

Et puis je ne vais pas insister sur l’image à côté de la plaque que ce film donne du monde BDSM ; votre Google-fu vous aidera à découvrir ce que le milieu en question pense du film. Du nawak.

Donc oui c’est nul, Vous pouvez continuer à le fuir…

2 réflexions sur « 50 nuances de Grey »

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