On est en Corée. Une famille habite pauvrement dans un appartement tout petit presque en sous-sol. A l’étroit, sans ressources, ils vivent au jour le jour, sans grand espoir que la situation s’améliore. Un pote du fils propose à ce dernier un poste de prof privé d’anglais dans une famille très huppée vivant dans une immense demeure bourgeoise. Bien sûr le fils accepte, se créé un personnage pour intégrer ce nouveau monde, et va mettre le doigt dans un engrenage complexe. Le goût de l’argent et de la belle vie va grignoter son entourage et les choses vont devenir compliquées, tendues, dangereuses et même glauques.
Difficile d’en dire plus sans trop déflorer le sujet… Attendez-vous juste à plonger dans des événements bizarres et à rencontrer des situations décalées.
2040, sur notre Terre. Les évolutions technologiques ont permis la création d’une drogue pas très légale permettant de connecter directement deux cerveaux entre eux, d’établir une communication directe d’esprit à esprit. De nombreux groupes s’y intéressent, allant de terroristes l’utilisant pour manipuler les autres aux idéalistes baba-cools qui y voient un moyen de ne former qu’un, en passant par ceux qui y voient le futur de l’Humanité augmentée ou les institutions qui souhaitent réguler, voire stopper, son utilisation. On va suivre deux représentants de ces groupes unis pour empêcher une mauvaise utilisation dangereuse de la drogue, mais avec des motivations différentes puisqu’il y a une super-agente de terrain aux capacités augmentées qui veut stopper le deal, et l’un des créateurs de la drogue qui veut la distribuer pour rendre les gens libres.
Un concert très attendu que celui-ci (qui se jouait d’ailleurs à guichets fermés). Je vous avais dit tout le bien que je pensais de RIval Sons ici et là. Du coup je me réjouissais beaucoup de les voir en live. Et si déception il y a eut, ce n’est pas dû à la qualité du show ou de la musique, c’est plutôt à cause d’un trop peu. J’y reviens plus en détails.