C’est assez à la mode de faire des remakes, entre autres de films qui nous ont fait peur il y a longtemps, avec plus ou moins de succès (Halloween, La colline a des yeux, Evil Dead, ou L’expérience interdite, par exemple). Et puis Chucky a eu droit au même traitement cette année ; je ne suis pas grand connaisseur du reste de la saga (qui a débuté il y a 30 ans quand même) mais je connais un peu quand même et du coup j’ai regardé cette nouvelle version, qui reprend le même titre qu’à l’époque.
On a donc un jouet qui a la forme d’une super-poupée-robot électronique haut de gamme avec connexion réseau, capacité d’apprentissage, etc. Mais un de ces modèles pête les plombs et se révèle prêt à tout pour que le gamin qui l’a reçu en cadeau soit son meilleur et seul ami. Va s’ensuivre une série de disparitions/meurtres, allant jusqu’au massacre, révélant la méchanceté profonde de cette poupée appelée Chucky. Avec pas mal d’humour débile, et une petite critique contre le tout-technologique et les gamins collés à leurs écrans portables. Sans que ce soit folichon, il faut bien le dire.
Naissance du jeune Simba, traîtrise de Scar, mort de Mufasa, rencontre de Timon et Pumba, retrouvailles, retour, baston, récupération du trône, blablabla, tout le monde connaît (oups, pour les autres, désolé si je vous ai spoilé). Oui ici on reprend de manière très très très proche le fameux et génial film d’animation de 1994 (‘tain, ça nous rajeunit pas tout ça). Sauf que l’on est dans le nouveau trend de Disney, à savoir refaire en live-action (ou comme si c’en était) les films d’animation cultes de la firme, histoire de ne pas avoir à payer trop de créatifs et de se refaire des brouzoufs sur des trucs déjà bien connus.
OK, je suis en retard de quelques jours pour vous présenter ce magnifique film de Noël (un peu busy ces temps), mais mieux vaut tard que jamais. Et puis ça vous permettra de le voir pour Noël prochain. Ou de le regarder à un autre moment parce que franchement il en vaut la peine.
Klaus part de la question d’où vient cette manie d’envoyer des lettres à un vieux barbu pour lui demander des cadeaux. On va donc suivre un jeune facteur en formation qui n’en fout pas une parce que fils du chef de l’école et qui pense que tout lui est dû. Expédié pour faire ses preuves de facteur sur une île perdue, il va découvrir un bled loin de tout, où deux clans se foutent sur la gueule, et dont les habitants n’envoient jamais de lettres. Mal barré. Sa rencontre avec un vieux barbu bourru dans la forêt et un enfant malheureux en manque de jouets va changer sa vie. Et créer une légende remplie de symboles.
La sortie du Jumanji de 2017 avait été une très bonne surprise (malgré de grosses craintes). Du coup je suis parti avec plaisir pour regarder cette suite qui s’est avérée dans la même veine et très agréable. A la fin du film précédent, les quatre amis détruisaient la console aux pouvoirs surprenants. Mais voilà, le succès a contraint à une suite et on va donc retrouver la console réparée. Et l’un des potes qui part dans el jeu. Ses amis décident d’y retourner aussi pour aller le sauver. Mais le petit souci c’est que le grand-père de l’un d’eux et son ami se retrouvent projetés dans le jeu. Du coup, si on retrouve les mêmes personnages du jeu, ce ne sont pas les mêmes personnes qui s’y incarnent. On se retrouvent avec les éléments d’une suite : plus de personnages, des nouveautés sur ceux existants, des méchants encore plus méchants que précédemment, et des épreuves encore plus tendues.