Il m’aura fallu un peu de temps pour revenir à Fringe après la saison 1… Mais c’est chose faite et j’ai pu terminer la saison 2. On reprend donc les mêmes et on continue. Olivia Dunham, toujours aussi curieuse et maligne, prête à tout pour découvrir la vérité, mais surtout le lien avec son passé. Walter Bishop, toujours bien barré, mais de plus en plus touchant dans ses actions et les raisons de ses agissements ; son passé va amener des réponses à pas mal de choses. Peter Bishop, toujours un peu à double tranchant, qui va se révéler complètement central et d’une importance cruciale. Astrid qui va prendre du galon. Broyles, Nina Sharp, et d’autres qui vont eux aussi acquérir plus de profondeur. Le début de la saison 2 complète la fin de la saison 1 après les révélations vécues par Olivia, ses tentatives de retrouver ce qui s’est dit, et ceux qui ne veulent pas qu’elle se souvienne. Rapidement, on repart sur un style freak of the week avec des épisodes loners, certes souvent très efficaces, mais qui ralentissent l’avancée du schmilblick global. Par contre, sur la fin, la saison part tout-à-coup plusieurs étages plus haut et se développe à fond. Et on atteint un sommet, où non passe carrément dans un autre style, et l’aspect X-Files s’évanouit.