De temps en temps, comme ça, j’empoigne au passage un de ces comics qui a marqué, un titre dont j’ai beaucoup entendu parler et qui est souvent considéré comme une référence. Dans le cas présent, c’est l’aventure du vieillissant Logan/Wolverine dans un monde post-apocalyptique où les méchants ont gagné et où les héros ont quasiment disparu… un environnement qui a servi de base à la conception du très bon film Logan. Ici, Logan vit tranquillement avec sa famille dans une ferme du fin fond de l’Amérique, refusant de sortir ses griffes et ne faisant plus de mal à une mouche depuis des décennies, soumis au gang de Hulk qui passe chercher sa taxe. Quand son vieil ami Œil de Faucon débarque et lui propose une simple mission de transport à-travers le continent pour se faire un max de fric, Logan accepte. Son nouveau côté pacifique va être confronté à la sauvagerie qui habite dorénavant les terres désolées qu’ils vont traverser, et bien évidemment, s les choses vont partir en sucette. Tout ne sera pas aussi simple que prévu.
Dès son premier épisode, la franchise John Wick s’est élevée au panthéon des films d’action contemporains. Le deuxième opus a permis de largement développer le background et son monde de services pour tueurs à gages, laissant un John Wick sur la touche et sous la menace de presque tous ses comparses de par le monde.
Ce troisième volet s’ouvre là où le précédent s’arrêtait avec un héros qui se fait excommunier. Pourchassé par tous les tueurs du monde, vu la prime sur sa tête, John Wick va d’abord devoir survivre avant de chercher à reprendre la main et en repassant à l’attaque, s’enfonçant dans les manigances du Continental et de la Grande Table. A ses trousses, l’un des meilleurs tueurs au monde et ses quelques hommes de main. A ses côtés, quelques fidèles qui lui doivent des services. Et au final beaucoup de violence et de baston pour se sortir de ce merdier.