Dire que l’on déborde de films de super-héros est un peu un euphémisme. Il y en a pour tous les goûts, du sombre et du léger, du très mauvais au très bon, de l’humoristique au super sérieux, même des qui tentent de chambouler l’image des classiques.
Alors quand débarque une histoire d’un enfant tombé du ciel dans une sorte de capsule, adopté par un couple de fermiers d’une petite ville, et que le gamin s’avère doté de capacités incroyables, ça résonne. Sauf que là il va dériver vers une utilisation quelque peu mauvaise de ses pouvoirs. Et les choses vont mal tourner.
Dans les années 90, nos X-Men sont assez connus, au point que le président des USA lui-même fait appel à eux pour sauver des gens. Les voilà embarqués pour une mission dans l’espace où Jean Grey va se retrouver au contact d’une matière étrange qu’elle va absorber. Et alors qu’on la croit morte, elle revient à la vie. Plus puissante que jamais, tout son pouvoir libéré, elle va se laisser aller, tandis que sa mémoire s’ouvrira aux souvenirs traumatisants de son passé jusque là oubliés. Ses compagnons devront choisir entre tenter de la ramener ou joindre leurs forces pour combattre celle qui est devenue la plus puissante des mutants.
Je vous avais parlé du plaisir un choullla régressif que j’avais eu à massacrer allégrement du nazi dans Wolfenstein et sa suite. Du coup je n’ai pas trop hésité à récupérer la boîte du jeu suivant : Wolfenstein Youngblood. Vu comme une sorte de spin-off, on y prend en main la destinée des deux jumelles Blaskowitz qui débarquent dans le Paris occupé par les nazis pour y retrouver leur père disparu. Eh oui, on ne joue plus Blasko le barjot. Le tout dans des années 80 tendance steampunk et une ambiance bien barrée. Divertissant et bien défoulant, ce jeu n’en est pas moins une version light des deux autres, quelques crans en-dessous.