Les productions Bruckheimer/Disney nous avaient déjà livré la trilogie Pirates des Caraïbes, inspirée d’une attraction des parcs d’attraction de la souris, mélange d’aventure et de fun. On remet le couvert avec une recette du même acabit et en piochant cette fois dans le monde vidéo-ludique avec Prince of Persia, The Sands of Time. On le sait, les adaptations ciné de films sont rarement de haut vol (même qu’en général elles s’écrasent très vite avec fracas). Là, franchement, ce n’est pas le cas. On n’est pas devant un grand film bouleversant à la profondeur incroyable. Plutôt devant un très bon divertissement qui remplit avec les honneurs son contrat de blockbuster. On ne lui en demande pas plus et il ne prétend pas en faire plus. L’idéal d’une soirée ciné pop-corn sans prise de tête.
Pour ma part, cela fait longtemps (le premier est sorti en 1989) que je connais le nom de Prince of Persia et le principe action/plate-forme des jeux. Je n’y ai cependant joué qu’avec l’épisode Rival Swords sur Wii où l’on utilisait le principe des Sables du Temps permettant de remonter un tout petit peu dans le temps ; un jeu très sympa. Et j’ai franchement retrouvé l’essentiel de ce qui fait le jeu dans ce film.