Dans la série des grands classiques que je devais lire et que c’était pas encore fait mais que maintenant c’est bon, je rajoute Good Omens (ou De Bons Présages dans la langue d’Akhenaton) (je dois dire que l’annonce de la diffusion prochaine de la série m’a rappelé l’existence du bouquin). Un roman dont l’énoncé seul des auteurs suffit à donner envie de lire puisque ont écrit cet ouvrage à quatre mains Neil Gaiman (Sandman, Coraline dont a été tiré un film très sympa, Neverwhere, Stardust, American Gods, Anansi Boys, …) et Terry Pratchett (Le DIsque-Monde), rien que ça (même si c’était avant leur starification). Du coup, on sent venir le bonheur avant même d’ouvrir les pages. Et le bonheur a été présent sur toute la lecture.
On va suivre les traces d’un démon, Crowley, et d’un ange, Aziraphale, qui vivent sur Terre depuis des siècles, au contact de l’Humanité, en s’attachant à celle-ci chacun à sa manière. Mais voilà que le tant annoncé Antéchrist arrive, annonçant l’Apocalypse qui doit ravager le monde lors d’une terrible bataille entre le Bien et le Mal à ses 11 ans. Tous deux sont très sollicités par leurs hiérarchies respectives pour faire avancer les choses. Mais bon d’un autre côté ils trouvent cette Terre pas si mal en l’état et vont remettre en question le bien-fondé de cette fin du monde. Sans compter qu’un petit rouage dans le plan si bien échafaudé fait que l’enfant du Malin n’atterrira pas dans la famille voulue. De là, les choses vont un peu partir en sucette avec toute un casting de personnages très hauts en couleurs.
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