Le Paris des Merveilles, c’est Paris en 1900 version uchronique avec des magiciens, des fées, des trolls et plein de trucs sympas du genre. Un univers de fantasy urbaine dans lequel on plonge avec délectation en suivant les aventures d’un magicien amateur de motos qui se retouve plongé au sein d’une intrigue impliquant les plus hautes marches du pouvoir d’Ambremer, la capitale du monde des créatures magiques existant parallèlement au nôtre. Mystères, action, poursuites, suspens, révélations, tout y est pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Guy vit sa vie de petit employé de banque peinard. Il se lève, salue son poisson rouge, choisit un costume toujours pareil dans son armoire de costumes tous pareils, commande le même café sur le chemin, discute avec son ami le vigile de la banque, travaille au guichet, se couche par terre à chaque braquage en attendant que ça passe, et ainsi de suite jour après jour. Parce que oui des braquages il y en a souvent, perpétrés par ces fameux gens qui ont des lunettes de soleil… Jusqu’au jour où Guy s’emparer de l’une de ces paires de lunettes et découvre plein de choses sur son monde, à commencer par le fait qu’il n’est qu’un PNJ au sein d’un immense jeu vidéo multijoueurs quelques part entre GTA et Fortnite.
La série The Expanse (tirée de bouquins qu’il faudra bien je lise un de ces 4) est vraiment bien foutue. En plus de son intrigue, sa réalisation et ses personnages, elle offre un univers qui ouvre la porte à de multiples idées d’aventures. Et pour moi qui dit aventures dit jeu de rôles, évidemment. L’idée de pouvoir vivre des scénarios autres que ceux des bouquins/série m’a suffisamment motivé pour que je fasse l’acquisition du jeu de rôles officiel. Parce que oui j’aurais pu adapter à partir d’autres systèmes, mais j’aime bien le fait d’avoir une description solide de l’univers de jeu dan un bouquin sans me farcir moi-même cette mise en place (d’ailleurs je reviendrai prochainement sur tous ces jdr dans des univers connus). Une fois l’ouvrage digéré, il y a du potentiel, mais aussi du moins bon.