Quand une étudiante est assassinée, que le premier coupable envisagé est un singe, mais que la piste va finalement aller plus loin au sein d’un sombre mystère, nos deux enquêteurs se retrouvent pris dans une terrible spirale. Sharko et Lucie sont tous deux marqués par leurs démons, par un passé terrible qui ne les lâche pas. Malgré cela, ils vont se lancer sur la trace d’un meurtrier, et cette piste va les amener aux origines du mal, de la violence, le tout sur fond d’ADN et d’évolution, tout en plongeant de plus en plus dans la noirceur humaine.
Suicide Squad c’est le nom d’une équipe de vilains méchants de l’univers DC réunis par Amanda Waller pour aller accomplir des missions que personne d’autre ne peut ou veut effectuer, le tout sous la menace de bombes logées dans leur nuque explosant au moindre signe de trahison ou de fuite. ici le groupe d’anti-héros va devoir se rendre sur une île tenue d’une main de fer par un dictateur pour enquêter sur une usine secrète. Bien évidemment, avec un plan un peu pourri, des bras cassés qui n’obéissent que moyennement, des gens un peu tarés ne voyant les choses comme tout le monde, et autres subtilités, les choses partent assez vite en sucette. Et la mission devient vraiment une mission suicide dans une débauche de violence et de pétages de plombs. Mais bon, il faut bien sauver le monde, si on veut continuer à y faire le mal…
Nous sommes dans un monde fantastique à tendance fantasy-steampunk où des gens dotés de pouvoirs particuliers forment une espèce de noblesse tenant un royaume très puissant, coupé de ses voisins par une sorte de rideau d’ombres magiques. Une prophétie annonce qu’un jour un magicien pourra combattre cette malédiction pesant sur le royaume. Cela va tomber sur les épaules d’une orpheline qui se trouve donc être une sorte d’élue, statut dont elle ne veut pas trop. Prise au sein d’intrigues, cherchant le soutien de son meilleur ami, au contact du général menant le royaume magicien, rencontrant une bande d’arnaqueurs/voleurs, elle va devoir choisir sa destinée.
