Au milieu des années 80, Ron Woodroof est diagnostiqué atteint du VIH. Cliché du texan type comme on peut l’imaginer, fan de rodéo, redneck misogyne, machiste, raciste et homophobe, agressif et vulgaire, le voilà atteint de la maladie considérée comme représentative des gays à une époque où elle fait un véritable massacre. Mais Ron va lutter et trouver le moyen d’importer des médocs non reconnus aux Etats-Unis pour les vendre à d’autres malades, au-travers de son Dallas Buyers Club, prolongeant lui-même son espérance de vie par rapport à ce que ses médecins prédisaient. En lutte contre l’administration et la médecine, il participera ainsi à faire avancer la connaissance de la maladie et la reconnaissance des malades. Cette histoire vraie a été adaptée au cinéma sur le scénario d’un type qui a rencontré Woodroof peu avant son décès. Et le film est une belle réussite, même s’il diffère quelque peu de la réalité sur quelques points évidemment.
Ma découverte de l’univers de Witcher/Sorceleur a eut lieu avec le premier jeu vidéo sur mon PC il y a déjà pas mal d’années. Sans être jamais allé au bout, je me souviens d’avoir pas mal apprécié le truc. Comme j’avais entendu dire que les bouquins étaient très bons, j’avais tenté le coup avec Le Dernier Vœu, estampillé numéro 1 de la saga chez Bragelonne ; et je n’avais pas été franchement transcendé, tombant sur ce que je trouvais être de la fanatsy assez classique avec une série de nouvelles reprenant en gros un chasseur de monstres confronté à des bestioles tirées de mythes et légendes assez connus, rien de vraiment prenant. Mais cela ne m’a pas empêché de plonger dans le jeu The Witcher 3 avec délice. J’y ai découvert une univers solide, riche, complexe, très intéressant, confirmé dans le jeu de rôles officiel. Et en parralèle on continuait à me dire que les bouquins étaient très bons. En me renseignant j’ai découvert qu’il y avait bien ces quelques recueils de nouvelles mais que surtout il y avait une saga suivie, débutant réellement au tome 3 chez Bragelonne, Le Sang des Elfes. Et voilà comment j’ai plongé dans l’intrigue de Geralt, Ciri et les autres.