Depuis Les Dents de la Mer en 1975 (‘tain, c’est plus vieux que moi), les films de requins, ça va ça vient, mais ça ne se fait jamais complètement oublier. Des délires genre Sharknado ou Megashark VS Giant Octopus aux blockbusters comme l’actuel Meg, il y en a pour tous les goûts (même un mutant requin-pieuvre, des requins en montagne, un requin fantôme, des requins à deux têtes ou des requins zombies nazis volants, si si). Avec ce tout récent 47 Meters Down, on arrête le pétage de plomb complet, et on reste sur un truc très simple. J’ai pas dit « réaliste », juste pas complètement barré du cerveau. Continuer la lecture de 47 Meters Down
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Repo Men
On se place dans un futur assez proche. Le monde ressemble pas mal au nôtre. Un peu plus sombre, un peu plus d’inégalités, un peu plus de pouvoirs aux grandes entreprises, bref un truc pas si improbable quoi. Dans ce monde, une grande entreprise, L’Union, a la main-mise sur les organes artificiels, leur vente et leur implantation sur des patients prêts à payer une fortune pour survivre à une maladie ou un accident. Et bien entendu pour l’immense majorité des clients qui ne peuvent payer, on propose des plans de remboursements mensuels à des taux de crédit proprement usuriers. Le problème, c’est que faire quand les gens ne payent pas? Et bien L’Union dispose d’employés particuliers, les Repo Men, qui vont sur place, donnent un coup de taser à la personne, et la charcutent pour récupérer l’organe artificiel en question (quand ce n’est pas plusieurs organes), y compris si ce dernier est indispensable à garder son hôte en vie. Eh oui, L’Union fait ainsi payer des sommes colossales pour que les gens restent en vie. Une grande partie de la population vit dans la peur de ces Repo Men, des clans se sont organisés dans les quartiers pauvres pour rester discrets et ne pas se faire chopper. Mais les Repo Men sont intraitables, et ne font pas dans la dentelle. Leur métier les fait se couvrir de sang mais en général ils aiment ça. Jusqu’au jour bien sûr où l’un des meilleur Repo Men se voit placé un cœur artificiel qu’il ne pourra évidemment pas payer ; de traqueur impitoyable, il deviendra une proie pour ses anciens collègues. Continuer la lecture de Repo Men
Cold Prey
Je ne sais plus trop par quel biais j’en suis venu à m’intéresser à ce film norvégien de 2006, mais bon voilà je me suis retrouvé à regarder ce slasher. On y suit cinq jeunes potes qui vont faire du snowboard dans un lieu très éloigné de tout. Ils sont contraints de s’abriter dans un vieil hôtel abandonné… finalement pas si abandonné que cela. La suite va virer en classiques tranchages, saignées, courses-poursuites, cris de peur, claquements de dents et tout ce qui s’ensuit. Un slasher classique, aux éléments assez traditionnels, mais très bien mené et apportant un petit côté exotique de par son setting norvégien (d’autant plus que la version que j’ai vue est la VO sous-titrée). Continuer la lecture de Cold Prey
The Villainess
Je me suis mis devant ce film de 2017 après en avoir pas mal entendu parler comme du nouveau film d’action asiatique qui claque et tout. Et puis il était sorti à Cannes où il avait déclenché une standing ovation de plusieurs minutes. Bon ben sans dire qu’il est mauvais, je dois dire que je suis nettement moins enthousiaste.
On suit dans ce film une femme qui défouraille tout plein d’ennemis, avant d’être arrêtée. Dans un style Nikita, elle va intégrer contre sa volonté une unité de femmes « agents dormants » avec une fausse identité mais envoyées ponctuellement pour des missions d’assassinats ou autres joyeusetés. Le tout est mêlé avec les meurtres du père et du mari de l’héroïne, son bébé, son nouvel amour, et des organisations criminelles en nombre. Continuer la lecture de The Villainess