L’autre soir j’ai eu envie de me faire un truc bien délirant et brainless. Et je dois dire que l’association gros flingue, matos steampunk, chasse aux sorcières pulp, Arterton, Jansenn, Renner, punchlines, tout cela me faisait bien envie. Pari réussi avec ce Hansel et Gretel qui atteint son but et ne cherche surtout pas à péter plus haut que son cul. Dans le genre « récupération de contes » on a eu de l’échec comme Van Helsing qui aurait mérité bien mieux. On a par contre ici un truc qui ne se prend pas au sérieux mais qui s’avère en fait un divertissement redoutable. Du bon gros blockbuster d’action à la recette connue, certes, mais terriblement bien mené par rapport à la moyenne
Nos petits Hansel et Gretel, tout le monde le sait, ont été abandonnées dans la forêt où ils ont trouvé la maison en sucreries d’une vilaine sorcière qui a presque réussi à les manger ; ils s’en sont sortis en faisant rôtir la méchante. Après cette introduction, le film prend place quelques années plus tard. Les deux petiots sont devenus des trentenaires chasseurs de sorcières reconnus qui ont sauvé moult enfants et villes menacées par des monstres divers et variés. Armés de flingues surprenants et de pièges délirants, ainsi que d’un humour noir et d’un caractère bien trempé, Hansel et Gretel sont recrutés pour éradiquer le mal partout où il se trouve. En cherchant la trace d’enfants disparus, ils vont tomber sur un complot d’une ampleur terrifiante qui fera ressurgir les fantômes de leur passé et les forcera à se surpasser face à des adversaires plus puissants que d’habitude. Continuer la lecture de Hansel & Gretel Witch Hunters