In 1957, the bomb dropped, and the Russians took over what was America.
The last bastion of freedom became a place called Lost Vegas and Elvis was crowned King.
After forty rockin’ years, The King is dead.
Every guitar picking, sword swinging opportunist, including Death himself, hears the call echoing across the wastelands.
Vegas needs a new King.
Comment résister à un film qui commence par ces mots? Cela n’augure que du bonheur. Et quand on sait qu’au programme il y a du rock, du katana, des guitares, du kung-fu, de l’uchronie, du post-apo et des duels de guitare, que demander de plus? Bon, par contre faut être clair tout de suite : Lance Mungia (scenariste et réalisateur) et Jeffrey Falcon (scenariste et acteur principal) se droguent. Et pas au p’tit lait. C’est du lourd ce qu’ils prennent. Ce film est un gros trip complètement halluciné. Il enchaîne délires visuels et sonores avec des situations plus capillotractées les unes que les autres dans une espèce de road-movie barjot gonflé au rock’n’roll et au film de sabre.