Cinquième volet de la franchise Die Hard, ce film me faisait évidemment très envie à la base ; je suis assez fan de la série en fait. Puis j’ai lu les premières critiques… et les suivantes… ça m’a refroidi… suffisamment pour que je n’aie pas envie de dépenser le prix d’une place de cinéma pour aller le voir. Et je ne regrette pas. A Good Day to Die Hard est un honnête blockbuster d’action comme il en existe des centaines, mais ce n’est pas du Die Hard comme je l’entends.
Dans cet épisode, notre John McClane vieillissant décide pour une obscure raison de retrouver son fils avec lequel il s’est quitté en bien mauvais termes, des années auparavant. Le fiston en question est un agent infiltré de la CIA en Russie, en pleine mission d’extraction d’un grand savant. L’arrivée du papounet va mettre la pagaille dans un plan savamment huilé et amener à un règlement de situation version MacClane à grands coups de tatanes et de bastos. Le tout soutenu par les retrouvailles mouvementées de deux gros durs pas doués en relations humaines et qui vont chercher les mots pour communiquer. Dis comme ça, on pourrait croire à du vrai Die Hard puisque l’on annonce une infériorité numérique face à une menace importante et que ça devrait envoyer du bois. Et c’est ici que ça casse, que l’on perd le truc. Continuer la lecture de A Good Day to Die Hard (Belle journée pour mourir)