Dans le genre « le dealer du scénariste lui fournit des trucs vraiment illégaux », je vais vous parler du film Bubba Ho-Tep. Y’a des trucs un peu OVNI comme ça qui m’arrivent entre les pattes après en avoir entendu causer sur le net (souvent sur des forums de rôlistes tordus, ces deux derniers mots ne formant pas un pléonasme). ALors ici, qu’est-ce qu’on a? La grande nouvelle, c’est qu’Elvis est vivant.Si, le vrai Elvis, on le croyait mort mais c’était pas lui. Lui, e King, le vrai, il est dans une maison de retraite du fin fond du Texas. Il est vieux, cheveux gris, gros, a besoin d’un déambulateur, et vit ses journées comme dans un rêve en décalage complet. Les rares personnes à qui il se lient finissent par mourir (c’est l’âge). Sauf l’autre vieux black là qui se prend pour JFK (oui, il est black, c’est parce qu’on l’a teint). Ils sont super potes. Et leurs liens se resserrent quand ils découvrent qu’une ancienne momie égyptienne est revenue d’entre les morts et erre parmi les vivants en semant la mort sur son passage. Et les deux papys vont unir leurs forces séniles afin de lutter contre cette incarnation des forces du mal et sauver leurs âmes ainsi que celles des autres résidents… Quand je vous disais que c’était vachement balaise, les trucs du dealer du scénariste.
Archives par mot-clé : rock
Six-String Samurai
In 1957, the bomb dropped, and the Russians took over what was America.
The last bastion of freedom became a place called Lost Vegas and Elvis was crowned King.
After forty rockin’ years, The King is dead.
Every guitar picking, sword swinging opportunist, including Death himself, hears the call echoing across the wastelands.
Vegas needs a new King.
Comment résister à un film qui commence par ces mots? Cela n’augure que du bonheur. Et quand on sait qu’au programme il y a du rock, du katana, des guitares, du kung-fu, de l’uchronie, du post-apo et des duels de guitare, que demander de plus? Bon, par contre faut être clair tout de suite : Lance Mungia (scenariste et réalisateur) et Jeffrey Falcon (scenariste et acteur principal) se droguent. Et pas au p’tit lait. C’est du lourd ce qu’ils prennent. Ce film est un gros trip complètement halluciné. Il enchaîne délires visuels et sonores avec des situations plus capillotractées les unes que les autres dans une espèce de road-movie barjot gonflé au rock’n’roll et au film de sabre.
Sons of Anarchy – saison 2
Ben oui il y a seulement 8 jours je vous commentais la saison 1 et me voici déjà de retour avec la saison 2. Mais il faut bien admettre que cette série est une vraie tuerie. Et la saison 1 que je trouvais si magnifique n’était finalement qu’une mise en bouche pour une saison 2 absolument énorme.
La première saison nous laissait sur un moment très dur qui promettait que tout allait bien changer dans la suite. Les tensions entre Clay et Jax laissaient entendre que la vie du club ne serait pas de tout repos et que l’on pouvait s’attendre à de belles querelles internes. Si l’on ajoute les relations plus ou moins tendues avec l’extérieur, il y avait là matière à remplir la saison 2 de bien des éléments. Mais les scénaristes de Sons of Anarchy ne sont pas des petits joueurs et ils se sont dit que ce n’était pas assez. Donc on rajoute une couche (et quelle couche!) dès le première épisode.
Sons of Anarchy – saison 1
Gosh, quelle tuerie que cette série!!! Ca faisait un petit moment qu’elle était dans ma liste des « à voir », avec tout plein de commentaires super positifs entendus de tous côtés. Il aura donc fallu un peu de temps pour que je m’y mette mais là c’est fait. Et bien fait. C’est vraiment énorme!
Sons of Anarchy nous narre les aventures et histoires du « Sons of Anarchy Motorcycle Club, Redwood Originals », une bande de bikers au look de mauvais garçons qui tiennent leur sympathique ville de Charming aux USA. Sam Crowe, comme ils se font appeler (reprendre les initiales de l’intitulé complet : SAMCRO), fonctionne comme une grande communauté, une sorte de famille où tout le monde se connaît et se soutient. En charge du garage Morrow-Teller (du nom des deux fondateurs du club), ils gagnent surtout leur vie au travers du commerce très illégal d’armes à feu. Et ils doivent trouver leur voie entre flics, population et autres gangs.