Fin de la première saison de Helix. Emmenée par le papa de Battlestar Galactica, la série était très prometteuse. Avec son style glauque un peu gore fortement inspiré de The Thing, elle nous laissait entrevoir de belles choses. Et si le début s’est fait en fanfare avec justement une ambiance au top, du survival prenant, le tout a rapidement dérivé vers une histoire de conspiration mondiale plus trop dans la ligne de mes attentes. C’est un peu le concept « From Dusk Till Dawn » où on part dans un genre pour basculer dans un autre.
Dans Helix, un groupe de scientifiques du CDC (Center for Disease Control, l’agence américaine de lutte contre les maladies et les épidémies) part dans une base en Arctique pour découvrir ce qui se passe suite à une infection par un curieux virus et éviter toute propagation. Le virus a un effet assez gore, transformant ses victimes en espèces de zombies super rapides crachant un liquide noir et s’attaquant aux gens non-infectés. A la tête de l’équipe du CDC, le docteur Alan Farragut, et sous ses ordres son ex-femme. Le frère d’Alan s’avère être la première victime du virus, sur place, et il y a là un triangle amoureux. Très vite, l’équipe va se rendre compte qu’il y a de nombreux secrets cachés là-dessous, que l’on est dans le cadre de l’expérimentation ADN. Et comme le dit le trailer de la série « Quand on veut jouer à Dieu, il faut être prêt à en payer le prix ». Mensonges, cachotteries, coups dans le dos, loyautés diverses, tout est très tordu, et nos héros vont devoir démêler ces fils sous la menace constante des infectés… Constante? Ben en fait pas tant que ça puisqu’elle va finalement disparaître quand débarquera une menace plus terre-à-terre avec la grande méchante corporation derrière toutes ces expérimentations, avec sa grande conspiration mondiale. Continuer la lecture de Helix – saison 01