Doctor Panic et Le Joueur de Flûte

tumblr_o3zfqgBMnE1sfwcsio1_1280Encore un petit billet pour vous présenter deux jeux découverts il y a pas très longtemps et qui m’ont bien plu. Comme d’hab, je ne vous propose pas une étude approfondie en ayant été au plus profond des jeux, juste un avis après quelques parties, donc ça vaut ce que ça vaut.

Doctor Panic

Celui-là, je le suis depuis un moment via Facebook et les divers salons où il a été présenté, à l’origine sous le titre de Panicobloc. Quand il est enfin sorti, chez Repos Prod, je m’en suis emparé sans trop réfléchir parce que c’est du fun assuré. Bon, c’est un jeu de Roberto Fraga, donc il y a de bonnes chances pour que la déconnade, la poilade et le nawak soient au rendez-vous. C’est le cas. Dans ce jeu, les joueurs vont former des équipes de 2 joueurs et se mettre autour de la table. On joue cependant en coopératif. Il va en effet falloir travailler tous ensemble pour sauver un patient dans le temps imparti. Et ce au-travers d’une série de 8 épreuves ; chaque équipe doit accomplir les 8 épreuves et si vous avez terminé avant les autres, vous pouvez du coup aller aider les équipes qui ont plus de peine.

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I prefer… The Company of Men

LPAprès des années à écumer chacun de son côté les salles internationales avec leur rock nerveux ou de la pop finement ciselée, les frangins lausannois Wicki se mettent enfin à jouer ensemble dans un nouveau groupe tout frais avec d’autres potes vieux de la vieille. Les années Favez et Chewy (entre autres) sont passées, les gens ont vieilli (peut-on dire « mûri »?), la jeunesse s’est tassée, tout comme les egos, et on obtient donc le groupe The Company of Men et cet album « I prefer the Company of Men » ; de la musique donc, on n’est pas là pour causer des préférences sexuelles/amoureuses de ces quatre garçons (qui font d’ailleurs bien ce qu’ils veulent). Dès le morceau introductif, Ten Thousand Voices, on retrouve immédiatement le talent de songwriting des gaillards, avec une mélodie douce, aérienne, entêtante, réussie. Une musique légère portant des arrangements vocaux de qualité. Il n’y a pas à dire, les années d’expérience (toujours musicale uniquement, hein), ça paye. Le disque prend ensuite un tempo un peu plus enlevé, avec un côté folk/country très américain, avec la chevauchée de Belly of the Beast. Des titres comme Echoes of our Voices, Hurricane Season, François Cevert, All the Ladies, confirment ce positionnement, tandis que Peculiar Man (aux sonorités Bee geesesques), Rosie, Remember this Day prouvent un sens de la ballade fort à propos. Quelques notes un peu plus électriques viennent soutenir cet opus concentré sur l’acoustique, sur un son brut et simple allant à l’essentiel. Un certain minimalisme qui met en évidence la qualité des compositions et des arrangements. C’est beau, prenant, envoutant (et un album à mettre dans le top pour les soirées romantiques à deux). Du fort bel ouvrage donc, que je conseille (et pas juste par copinage et proximité géographique).

Un petit mot sur la démarche des lives qui accompagnent ce disque. Pas de tournée dans des salles de concert, non. Et pourtant ça ne leur ferait pas peur à ces petits gars un chouilla habitués. Non ils vont chez les gens, en acoustique, faisant passer le chapeau après le show, avec un public familial et de copinage qui se sent à domicile, ambiance cocoonig et tout. Pas eu l’occasion de tester en vrai mais ça a l’air franchement fun et agréable. Une démarche qui sied complètement à la musique proposée, et qui colle à des gens relax, n’ayant plus rien à prouver, faisant cette musique pour le plaisir et pour s’amuser.

Le monde de Dory

Dory

Fan de Pixar depuis leurs débuts, c’est toujours avec un grand plaisir que je me déplace pour aller voir leurs créations. La dernière en date c’est Le Monde de Dory (Finding Dory), suite du Monde de Nemo (Finding Nemo, eh oui). 13 ans après quand même. Il aura fallu tout ce temps pour revenir avec une histoire reprenant les mêmes personnages mais qui constitue un vrai film et pas une suite faite n’importe comment.

Dans ce long-métrage, après une introduction sur l’enfance de Dory (tellement mignonne petite avec ses grands yeux), on revient à la vie après le film précédent. Dory, Marin et Nemo vivent ensemble, jusqu’au jour où notre poisson bleu aux troubles de la mémoire immédiate a des flashs de son passé. Dory décide de partir à la recherche de ses parents, et les deux poissons clowns vont l’accompagner. Traverser les océans est toujours une source d’aventures et de rencontres. Surtout qu’une fois sur place, le trio n’est pas au bout de ses surprises. Action, humour, suspens, émotion, tout va s’enchaîner dans ce film d’une grande qualité qui combine le road movie sous-marin (première partie) et le film d’action/espionnage rocambolesque (la suite), avec des personnages hauts en couleur.

Bon ben comme d’habitude Pixar envoie du bois au niveau technique. Les images sont superbes, les animations de grande qualité, les expressions et les différents rendus sont de très haut niveau. La bande-son aussi est vraiment réussie. Bref, c’est vraiment un très beau film. Mais au-delà de ça, c’est aussi une réussite pour la partie « racontage d’histoire ». Et même si le scénario est assez simple, afin de ne pas perdre le jeune public, Pixar démontre une nouvelle fois comment fonctionnent l’art et la manière de bien narre une histoire. Les personnages sont attachants, l’émotion est forte (comme d’hab j’avais ma petite larme au coin de l’œil), l’humour est réussi et tape à différents niveaux pour différents publics, on a un rythme bien dosé pour le suspens et l’action. Encore une fois, Pixar nous offre une très belle réussite.

Revue de web – S05E26

revue_de_web-2016Société

L’ONU met l’accès à internet comme un droit humain. OK, c’est joli de le dire comme ça, mais on rigole déjà de voir comment ce sera pas appliqué.

Une nouvelle CCT pour l’hôtellerie-restauration.

Et hop, les assurances continuent à augmenter. Que du bonheur!

Culture

Imperium, ça a l’air bien et très tendu.

Kubo et l’armure magique, miam.

Pas encore vu la 1ere, mais la saison 2 de Ash VS Evil Dead envoie du lourd.