Alors que la série vient de s’achever après sa quatrième saison, il était temps que je la commence. J’en ai pas mal entendu parler, en bien, et du coup elle figurait en bonne place dans ma liste des « à voir ».
On suit la sortie de taule d’un voleur-cambrioleur de haut rang qui va tenter de recoller avec sa vie d’avant… Un concours de circonstances assez étonnant va lui faire prendre la place du nouveau sheriff d’une petite ville perdue d’Amérique : Banshee (et oui, la série doit son titre au nom de la ville et non pas directement aux être mythologiques du même nom, on est dans une série sans surnaturel). Entre les éléments de son ancienne vie, son amour qu’il souhaite retrouver, ses anciens ennemis toujours à ses trousses, de nouvelles personnes qui se dressent sur son chemin, le héros est parti pour dix épisodes où il va en prendre pas mal plein la gueule (heureusement qu’il semble doté de capacités de régénération assez solides, genre pas loin de Wolverine). D’autant qu’il a un caractère assez sanguin et qu’il ne réfléchit pas toujours aux conséquences de ses actes. Il a tendance à foncer dans le tas et à ne pas trop pas planifier les choses.Et il a une grande gueule, une très grande. En additionnant tou cela, il n’est pas difficile de se rendre compte que as mal de choses vont partir en sucette.
Et voilà, de retour avec de nouveau deux jeux que je souhaitais vous présenter. Comme d’habitude, il s’agit ici d’un ressenti que j’ai eu de manière assez rapide après quelques parties et non pas d’une analyse approfondie après plusieurs parties. Au programme, deux jeux qui m’ont vraiment bien plu. D’un côté, un jeu tactique avec des motards et des sales coups ; de l’autre, un jeu familial dynamique avec des potions à concocter.
Sons of Anarchy – Men of Mayhem
Oui je suis fan de la série Sons of Anarchy. On sait que pas mal de jeux tirés de licences à succès ne sont que des produits marketing sans grande qualité. J’avais cependant entendu pas mal de bien de celui-ci. Et effectivement le jeu est fort sympathique. Il reprend bien l’ambiance de la série ; du moins l’ambiance premier degré entre deals, bastons, guns, motos, tractations et coups dans le dos, sans aller dans les considérations plus poussées que l’on a pu trouver.
Après la maison hantée et l’asile, American Horror Story s’attaque cette fois aux sorcières. On y suit Zoe, qui se découvre bien malgré elle dotée d’un pouvoir mystique et qui du coup emménage dans un coven, une demeure de sorcières, à La Nouvelle-Orléans. Ce coven y réside depuis des générations, depuis que ses fondatrices ont fui les fameux procès de Salem. A chaque génération une Supreme, une sorcière aux pouvoirs fabuleux, mène le coven pour assurer sa survie et sa dissimulation au monde des mortels. Mais dans les dernières années, le nombre de sorcières admises a cruellement chuté. Elles ne sont plus très nombreuses, et l’avenir semble compliqué. D’autant que les luttes internes existent, que la Supreme actuelle délaisse un peu son rôle tout en ne voulant pas admettre qu’elle doit laisser la place. Ajoutons à cela qu’une paix instable avec leurs ennemis héréditaires du vaudou est de plus en plus branlante. Et que des chasseurs de sorcières aux moyens conséquents ont décidé de les éradiquer. Bref, la vie ne va pas être de tout repos pour nos sorcières. La saison va s’attacher à démêler tout ça, avec des feedbacks réguliers pour situer certains éléments de l’histoire, en particulier cette femme très riche qui prenait un malin plaisir à massacrer des esclaves noirs jusqu’à ce que le vaudou s’en mêle. Continuer la lecture de American Horror Story : Coven→
Il fallait bien passer par l’inévitable film Marvel du moment. J’y suis allé pour voir du grand spectacle avec des potes et des bières, mais il faut dire que ces films ont tendance à de plus en plus souvent me décevoir dans l’ensemble (le summum dans le genre déception ayant été Avengers 2). Mais bon, Doctor Strange c’est un héros pas comme les autres, la bande-annnonce donnait bien envie, et on a Benedict Cumberbatch et Mads Mikkelsen au générique. Alors hop…
Le film débute en nous présentant Stephen Strange, chirurgien mega-brillant, riche, cèlébre, frimeur, qui se la pète, sélectionnant ses patients pour s’assurer zéro échec, tendance mysogine et pas super sympa. Il perd l’usage de ses mains dans un accident de voiture et aucune chirurgie ne semble pouvoir les sauver. C’est bien évidemment toute sa vie qui s’écroule. Dépassant ses croyances, Strange va se rendre au fin fond de l’Asie auprès de gens un peu secrets. Il va découvrir des sorciers capables de modifier la réalité et de faire plein de trucs bizarres grâce à d’étonnants rituels mystiques. Strange va apprendre afin de retrouver l’usage de ses mains, puis va se révéler particulièrement doué, avant de finalement se retrouver pris au sein d’un conflit entre sorciers menaçant la Terre entière. Continuer la lecture de Doctor Strange→