Après les bons échos que j’en ai eus, j’ai regardé ce reportage d’Arte sur l’obsolescence programmée, intitulé Prêt à jeter. Et comme il est disponible gratuitement (ah, le partage du savoir et de la culture, en opposition aux volontés des majors de la musique), ben je vous le mets en plus à disposition ci-dessous.
Mais tout d’abord je précise deux-trois trucs dans ce cadre… L’obsolescence programmée, c’est donc cette idée de créer un objet pour qu’il soit dépassé/révolu/non-fonctionnel/inutilisable après une période ou un nombre d’utilisations donné. Je suis pas totalement naïf et j’avais déjà conscience du phénomène avant bien sûr. D’autant plus avec mon amour des gadgets et du high-tech et aussi mon expérience dans le commerce et le helpdesk informatique. Il faut dire que les imprimantes sont tout particulièrement symptomatiques de ce phénomène (d’ailleurs le reportage d’Arte en prend une en fil rouge) ; mais aussi les logiciels qui demandent toujours plus de puissance même pour des tâches basiques (franchement, faire tourner correctement un traitement de texte genre Word2010 sur une machine équipée de Windows Vista, ben ça demande quand même une bécane qui tient la route) ou qui pêchent par leur incompatibilité. Pis bon, j’ai beau avoir craqué pour l’iPhone plutôt qu’un HTC, l’un de mes arguments pour ne pas céder à la pomme c’était l’aspect « batterie remplaçable uniquement chez Apple et à des coûts prohibitifs ».