 Qui dit « nouveau film Marvel » dit « virée ciné avec mon gnome », et ce Ant-Man tout frais ne fait pas exception à la règle. Et franchement ça a été un très bon moment. Il faut dire que Marvel est un peu omniprésent sur le grand écran (qui a dit « un peu trop »?), naviguant entre le vraiment grandiose (genre Gardiens de la Galaxie) et le un peu poussif quand même (L’Ere d’Ultron). Avec ce Ant-Man, Marvel nous remet de la qualité, un film plein de fun, d’action et d’humour avec le bon dosage.
Qui dit « nouveau film Marvel » dit « virée ciné avec mon gnome », et ce Ant-Man tout frais ne fait pas exception à la règle. Et franchement ça a été un très bon moment. Il faut dire que Marvel est un peu omniprésent sur le grand écran (qui a dit « un peu trop »?), naviguant entre le vraiment grandiose (genre Gardiens de la Galaxie) et le un peu poussif quand même (L’Ere d’Ultron). Avec ce Ant-Man, Marvel nous remet de la qualité, un film plein de fun, d’action et d’humour avec le bon dosage.
On y suit les aventures de Scott Lang, un voleur/cambrioleur qui sort de taule et se fait discrètement embaucher par Hank Pym pour un job un peu particulier. Pym est un scientifique de génie ayant inventé un costume capable de réduire son porteur à la taille d’une fourmi, tout en gardant la force d’un humain normal ; avec un communicateur permettant de diriger les fourmis, cela donne une combo puissante pourjouer au super-héros. Et effectivement le job en question a en gros pour but de sauver l’Humanité d’un désastre annoncé. Un scénario qui, comme souvent dans le genre, ne brille pas par son originalité exubérante, mais ce n’est pas non plus ce que l’on attend de ce type de film. Mais le scénario léger est vraiment bien traité et c’est là tout le bonheur de ce film.
Ant-Man dose avec justesse l’humour et l’action pour emmener le spectateur dans une bonne dose de fun. On est là pour avoir du grand spectacle sans se prendre la tête et c’est une réussite.
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 Encore un film dont j’avais beaucoup entendu parler en bien mais que ça s’était pas donné d’arriver à le voir au cinéma. Séance rattrapage à la maison donc, et ce fut un grand plaisir. Dans ce film, on suit une organisation anglaise de renseignement, officieuse et aucunement liée au pouvoir, disposant de moyens plus que conséquents, et qui agit dans le monde entier pour la paix. Ses hommes surentraînés font passer James Bond, Jason Bourne et Jack Bauer pour des débutants en petite forme. Suite au décès de l’un de ses membres, le Kingsman va devoir recruter un nouvel agent ; chaque membre de l’agence propose un candidat et il va s’ensuivre une sélection rigoureuse et dangereuse, au plus haut niveau. En parallèle, l’agence est aux prises avec une nouvelle menace pour la planète. Au programme nous aurons de l’action et de l’humour. Beaucoup d’action déjantée et beaucoup d’humour très british. Il faut dire que les origines sociales basses du jeune héros pris comme candidat font un joli contrepoint aux manières ultra-civilisées des Kingsmen qui sont avant tout des gentlemen, et une bonne partie du film joue sur cette dualité. Mais c’est bien plus que ça. D’ailleurs les scènes d’action vont assez loin et ne font pas dans la dentelle. Si la moindre goutte de sang vous fait vomir, ce film n’est pas pour vous.
Encore un film dont j’avais beaucoup entendu parler en bien mais que ça s’était pas donné d’arriver à le voir au cinéma. Séance rattrapage à la maison donc, et ce fut un grand plaisir. Dans ce film, on suit une organisation anglaise de renseignement, officieuse et aucunement liée au pouvoir, disposant de moyens plus que conséquents, et qui agit dans le monde entier pour la paix. Ses hommes surentraînés font passer James Bond, Jason Bourne et Jack Bauer pour des débutants en petite forme. Suite au décès de l’un de ses membres, le Kingsman va devoir recruter un nouvel agent ; chaque membre de l’agence propose un candidat et il va s’ensuivre une sélection rigoureuse et dangereuse, au plus haut niveau. En parallèle, l’agence est aux prises avec une nouvelle menace pour la planète. Au programme nous aurons de l’action et de l’humour. Beaucoup d’action déjantée et beaucoup d’humour très british. Il faut dire que les origines sociales basses du jeune héros pris comme candidat font un joli contrepoint aux manières ultra-civilisées des Kingsmen qui sont avant tout des gentlemen, et une bonne partie du film joue sur cette dualité. Mais c’est bien plus que ça. D’ailleurs les scènes d’action vont assez loin et ne font pas dans la dentelle. Si la moindre goutte de sang vous fait vomir, ce film n’est pas pour vous. Les ayant loupé au cinoche, c’est sur mon écran de salon que j’ai découvert ces Pingouins de Madagascar. Comme pas mal d’autres personnages secondaires, ils ont eu un tel succès auprès du public que les producteurs ont décidé de leur attribuer un film bien à eux. On retrouve donc ici avec plaisir les fameux pingouins psychopathes et complètement barrés des films Madagascar, et comme ils font justement partie des personnages que j’avais adoré, ça tombe plutôt pas trop mal. Après une petite intro sur la banquise avec nos pingouins encore enfants qui forment leur groupe et avec l’explication de comment ils ont quitté le froid, on les retrouve après la fin de Madagascar 3. Très vite ils vont se retrouver mêlés aux exactions d’un grand méchant de service qui a un plan diabolique. Sur les traces de ce grand méchant, Le Vent du Nord, une organisation secrète d’animaux d’élite ayant pour but de protéger les animaux plus faibles. Et là au milieu nos pingouins dans une ambiance digne d’un James Bond sous acide.
Les ayant loupé au cinoche, c’est sur mon écran de salon que j’ai découvert ces Pingouins de Madagascar. Comme pas mal d’autres personnages secondaires, ils ont eu un tel succès auprès du public que les producteurs ont décidé de leur attribuer un film bien à eux. On retrouve donc ici avec plaisir les fameux pingouins psychopathes et complètement barrés des films Madagascar, et comme ils font justement partie des personnages que j’avais adoré, ça tombe plutôt pas trop mal. Après une petite intro sur la banquise avec nos pingouins encore enfants qui forment leur groupe et avec l’explication de comment ils ont quitté le froid, on les retrouve après la fin de Madagascar 3. Très vite ils vont se retrouver mêlés aux exactions d’un grand méchant de service qui a un plan diabolique. Sur les traces de ce grand méchant, Le Vent du Nord, une organisation secrète d’animaux d’élite ayant pour but de protéger les animaux plus faibles. Et là au milieu nos pingouins dans une ambiance digne d’un James Bond sous acide. Oh! My! Fucking! God! Ça va devenir une habitude, mais je dois dire que Pixar m’a encore une fois balancé une baffe mémorable. Je suis ressorti de ce Vice-versa complètement retourné  (ouais elle est facile, je sais). Waow!
Oh! My! Fucking! God! Ça va devenir une habitude, mais je dois dire que Pixar m’a encore une fois balancé une baffe mémorable. Je suis ressorti de ce Vice-versa complètement retourné  (ouais elle est facile, je sais). Waow!