Frank Carter c’était le chanteur très énervé du groupe anglais hardcore-punk Gallows. Puis il a poussé la chansonette un peu plus calmement dans Pure Love. Depuis 2015 (après un parcours comme tatoueur), il mène Frank Carter & The Rattlesnakes dont le deuxième album est sorti il y a peu. Et je dois dire que c’est une assez bonne tuerie de rock qui claque.
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Et hop, direction le cinéma open air pour ce nouveau film de Edgar Wright (oui, le monsieur de Shaun of the Dead, Hot Fuzz, Le Dernier Pub avant la Fin du Monde ou encore Scott Pilgrim, rien que ça), un réalisateur que j’aime beaucoup et au ton bien rock’n’roll.
On suit dans ce film le parcours de Baby, jeune chauffeur extrêmement talentueux bossant pour des braqueurs et qui laisse systématiquement la police sur le carreau. Plutôt côté « gentil » et « bon » des bas boys cependant. Il est sans cesse collé avec ses écouteurs sur les oreilles et écoute de la musique ; beaucoup ; tout le temps. Lorsqu’il tombe amoureux et décide de raccrocher, les choses ne vont pas se passer aussi bien que prévu et tout va partir gentiment en sucette.
Tout comme d’autres, les Black Angels font partie de ces groupes dont je ne faisais qu’entendre parler pendant ma période où je passais moins chez mon disquaire. Shame on me, tout ça, je sais. Je ne les ai vraiment découverts qu’au travers d’Indigo Meadow, leur 4ème album sorti en 2013. Et là vient de sortir la nouvelle galette, Death Song (sachant que le nom du groupe vient de la chanson du Velvet Underground The Black Angel’s Death Song). Continuer la lecture de The Black Angels – Death Song
17 ans depuis l’excellent Relationship of Command, leur dernier album en date. Depuis, les membres de At the Drive-In n’ont pas vraiment chômé, par exemple avec le projet Antemasque qui est vraiment très bon. At the Drive-In s’est séparé, puis reformé quelques temps (avec du live mais pas de nouvelle galette), puis séparé à nouveau. Et les voilà qui débarquent donc avec un nouvel album qui envoie du bois : in•ter a•li•a. On retrouve très vite nos marques, puisque le groupe reprend grosso modo les choses là où il les avait laissées. Continuer la lecture de At the Drive-In – in•ter a•li•a