J’avais vraiment bien kiffé la BD Seuls (dont j’attends la suite avec impatience) et du coup je me devais de voir le film qui traite donc du premier cycle, la partie la plus cinématographique mais aussi la plus « simple », la plus accessible de la BD.
Le film débute en suivant Leila qui a une vie d’ado standard avec sa famille, ses amis, l’école et tout ce qui va avec. Contrairement à la BD, on la suit pendant quelques séquences dans sa vie d’avant… jusqu’à ce jour où elle se réveille seule, sans plus personne autour. Elle va rencontrer d’autres gamins pour former une petite bande afin de survivre. Et ils vont se rendre compte d’une accumulation de trucs bizarres. Continuer la lecture de Seuls→
Je vous disains il y a quelques temps à quel point j’avais bien kiffé le livre Ready Player One d’Ernest Cline. Du coup, je me suis senti plus que contraint d’aller voir l’adaptation ciné, dont la bande-annonce se révélait fort alléchante, ce d’autant plus que c’est Steven Spielberg himself qui s’est mis derrière la caméra (sur un scénario co-rédigé par Cline). Alors pour la mise en situation et le pitch, je vous renvoie au billet du bouquin, ça m’évitera de faire du doublon,… et je passe direct à cette adaptation ciné. Soyons honnête : sans que ce soit au niveau du bouquin, j’ai quand même joliment pris mon pied et apprécié ce film. Mais bon, détaillons un peu… Continuer la lecture de Ready Player One→
En 2043, la Terre surpeuplée ne peut plus subvenir aux besoins de ses habitants. Energie, nourriture, tout part en sucette. Il est donc décidé de n’accorder qu’un enfant à chaque couple. Un seul et unique enfant. Chacun porte aussi un bracelet permettant de l’identifier, en particulier aux différents checkpoints entre les quartiers de cette société où les classes sont très marquées ; une jolie dystopie quoi. Quand sa fille meurt en donnant naissance à des septuplées, Terrence Settman décide de garder cachées ses sept petites-filles. Il leur donne à chacune le nom d’un jour de la semaine, les éduque, développe les qualités de chacune, les pousse à se diversifier, à se développer. Mais au moment de quitter la maison, il n’y a pas le choix, elles doivent toutes adopter une identité unique, celle de Karen Settman. Maquillage et perruques, mais aussi une discipline de fer et des échanges très détaillés sur le contenu des journées, permettent aux sœurs d’assumer chacun à leur tour l’identité unique de celle qu’elles incarnent au grand jour. Tout va bien jusqu’à ce lundi où Monday ne rentre pas à la maison. Les filles vont se lancer dans une enquête pour retrouver leur sœur disparue, qui les amènera bien entendu au sein d’un truc bien plus complexe que prévu. Continuer la lecture de What happened to Monday? (Seven Sisters)→
Dans ma lancée des adaptations SF récentes (après donc Ghost in the Shell), je me suis mis devant le film Valerian de Luc Besson. Et… comment dire? Autant Ghost in the Shell m’a laissé un bon souvenir et tient plutôt bien la route (sans être au niveau de original), autant celui-ci est carrément pas bon.
On a donc Valerian et Laureline, agents du gouvernement de l’alliance des humains et peuple alliés, qui se baladent de planète en planète pour effectuer des missions abracadabrantesques et pas toujours très compréhensibles. Ils sont jeunes, beaux, athlétiques, doués en à peu près tout (sauf en jeu d’acteurs), et fortement attirés l’un par l’autre évidemment. Et là paf ils se retrouvent pris au milieu d’un grand complot organisé par un méchant qui est dans le camp des gentils mais en fait non et surtout on le voit venir gros comme une maison, le tout au milieu d’une sorte de mega-station spatiale faisant cohabiter quelques milliers d’espèces différentes. Continuer la lecture de Valerian et la cité des mille planètes→