Vice-versa

vice-versa-affiche-04Oh! My! Fucking! God! Ça va devenir une habitude, mais je dois dire que Pixar m’a encore une fois balancé une baffe mémorable. Je suis ressorti de ce Vice-versa complètement retourné  (ouais elle est facile, je sais). Waow!

Dans ce petit bijou de film d’animation, on va suivre Riley, une jeune fille de 11 ans, et plus particulièrement ce qui se passe dans sa tête où coexistent 5 émotions de base : Joie, Tristesse, Colère, Peur et Dégoût. toutes anthropomorphes, elle dirigent la vie de Riley par un pupitre de commande et créent ainsi les souvenirs contribuant à forger la personnalité de la jeune fille. Riley a donc 11 ans, aime sa famille, ses amis, faire des bêtises, jouer au hockey, bref une jeune fille comme les autres. Et quand un grand bouleversement secoue sa vie, et bien elle va réagir comme toute pré-ado, à savoir de manière relativement excessive et surtout pas évidente à décrypter pour son entourage. Nous allons suivre ceci au travers d’une aventure mémorable vécue par Joie et Tristesse. Tandis que dans la vraie vie, Riley subira des montagnes russes émotionnelles. Le film joue entre les deux univers, l’intérieur et l’extérieur, passant de l’un à l’autre avec une facilité déconcertante et liant le tout dans un système d’actions/réactions parfaitement maîtrisé. Et le plus incroyable, c’est la manière dont ce film basé sur les émotions en envoie plein la figure au spectateur sur le plan émotionnel ; eh oui, le fond et la forme se rejoignent magnifiquement. Continuer la lecture de Vice-versa

Revue de web – S04E24

revue_de_web-2015Société

La lutte contre le gaspillage alimentaire dans les magasins.

Et toujours ces écarts salariaux inadmissibles.

Quand les salaires des patrons n’ont rien à voir avec les résultats de l’entreprise.

De plus en plus de recours aux prestations complémentaires de l’AVS, étonnamment. Et pis bon en plus il y a pas mal de monde qui ne consulte pas de médecin pour des raisons financières… mais tout va bien.

Et donc l’armée annonce fièrement qu’elle fait plein de dégâts, mais un peu moins que l’année passée… au secours. Continuer la lecture de Revue de web – S04E24

Eternity Incorporated

C1-Eternity-Inc-BD-625x1024Le copinage n’a jamais tué personne, donc voici un petit billet sur Eternity Incoroprated du collègue auteur de jeux de rôles (on a bossé sur Capharnaüm) Raphaël Granier de Cassagnac. De la bonne SF bien foutue, intelligente, prenante et tout, ce fut une très bonne lecture.

Dans un futur pas trop déterminé, l’Humanité a succombé à un méchant virus. Seule une frange de gens sélectionnés a pu survivre sous les bulles créées par la société Eternity, des villes sous cloche protégées du monde extérieur, régies de manière très codifiée par des super-ordinateurs, des intelligences artificielles appelées Processeurs. Dans l’une de ces bulles, la seule qui ait survécu d’ailleurs, nous allons suivre les aventures de trois personnages très différents qui vont se retrouver mêlés dans une enquête particulière lorsque soudainement le Processeur s’arrête. Plus de directives, plus de contrôles de sa part. Une sorte de délivrance pour certains, un abandon pour d’autres. La liberté retrouvée va être plus ou moins bien vécue selon les affinités de chacun. Entre un DJ junkie révolté, une militaire qui patrouille les abords de la bulle, et une responsable de la connectique au Processeur, les différents éléments vont être dévoilés au lecteur. On entre très vite dans le monde d’Eternity Incorporated, facile d’accès, et du coup on se laisse vite happer par l’intrigue. En suivant les révélations et les découvertes des héros, le lecteur va échafauder ses théories sur la disparition du Processeur. L’auteur prend un malin plaisir à tisser de nombreuses fausses pistes, et il ne sera pas facile de démêler le vrai du faux. D’ailleurs la fin m’a pris de court, et j’avoue avoir été surpris par la révélation finale que je n’avais pas vraiment vue venir. Continuer la lecture de Eternity Incorporated

Revue de web – S04E23

revue_de_web-2015Jeux

(paragraphe bien chargé, E3 oblige…)

Le Doom nouveau… je bave…

Et Fallout 4, OK, je meurs

For Honor, ça a l’air joliment bourrin.

Bon ben le trailer du nouveau Mass Effect, il tue aussi sa maman.

Batman Arkahm Knight, ça en jette.

Et le nouveau Deus Ex, OMG! Continuer la lecture de Revue de web – S04E23