Archives par mot-clé : humour

The Big Bang Theory – saison 09

eKDvR1vYLCE08K1h0KUfHNliD8TBon, on entame cette période de fins de saisons pour pas mal de séries avec le grand classique The Big Bang Theory. Et là rien de bien neuf sous le soleil. Les scénaristes tentent de nous amener quelques nouveautés au niveau des couples, ou de quelques situations particulières. Mais autrement on est dans une machine qui roule et qui ne sort surtout pas de ce cadre. La série fait le job mais sans plus. Ce n’est plus la série dont j’attends chaque épisode avec impatience pour m’en délecter dès sa diffusion. Mais je suis toujours avec un certain plaisir, même si elle commence quand même à donner du mou. Mais bon, tant que l’audience est au rendez-vous, ils vont continuer à enchaîner ; une rumeur parle malgré tout d’une fin après la saison 10 (ce qui la classerait à la même durée que Friends, ce n’est pas négligeable).

C’est bon, mais c’est maintenant quand même très convenu.

Précédemment : saison 1, saison 2, saison 3, saison 4, saison 5, saison 7, saison 8.

American Ultra

220x320_12529ccc13838485e00436d7d523f658-2999776Mike est un petit looser. Il gagne un salaire de misère en bossant dans un supermarché pourri, il rentre pour fumer des joints et glander avec sa copine Phoebe, il est sujet à d’incontrôlables crises d’angoisse, nerveux, renfermé. Jusqu’au jour où une femme étrange débarque au magasin et lui sort une série de phrases sans trop de signification. Peu après, quand des balaises s’en prennent à lui, Mike les tue en deux coups de cuillère à pot sans vraiment se rendre compte de ce qu’il fait. Il s’avère qu’il est en fait un agent dormant d’un programme ultra-secret de la CIA, le genre de gars super-entraîné capable des plus grands prodiges mieux que James Bond et Jason Bourne réunis. Poursuivi par l’agence d’espionnage, perdu et ne comprenant pas trop ce qu’il doit faire, Mike entraîne Phoebe dans son truc et le tout va se refermer sur les deux amoureux dans une spirale de violence et d’action avec son lot de révélations. Continuer la lecture de American Ultra

Captain America – Civil War

civil-war-poster-3Ah ben voilà… après une Ere d’Ultron moyennement convaincante, Marvel nous en remet une couche avec ce Captain America, presque un Avengers 3 car on y retrouve une vraie palanquée de super-héros, des anciens comme des nouveaux venus. Bien que pas exempt de défauts, ce troisième épisode des aventures centrées sur Captain America confirme que les films basés sur ce personnage sont parmi les tout bons de l’univers cinématographique Marvel. Après un film pulp d’action et de guerre très sympa, après un film tournant plus vers l’espionnage moderne lui aussi très bon (et qui avait pas mal modifié la situation des héros Marvel), la franchise prend le pari de mettre à mal encore une fois la bonne tenue de nos héros. Un Captain America trop sûr de lui, un Iron Man dépressif et maussade qui doute trop. Quand le gouvernement vient dire aux Avengers que ça suffit tout ce bordel et qu’il faut prendre un peu la responsabilité des centaines de morts innocents découlant de leurs actions, on leur impose de choisir entre se ranger aux ordres de l’ONU ou de prendre une retraite. Tout ce petit monde ne sera pas obligatoirement d’accord de se mettre au service d’une organisation dont ils doutent un peu de l’efficacité. Quand en plus on soulève un complot mêlant l’ami Bucky à tout cela, c’en est trop pour le Captain qui embarque certains de ses potes pour aller chercher la vérité ; tandis qu’Iron Man embarque les autres potes pour obéir à l’ONU et calmer la bande à Captain. Comme ils sont tous relativement têtus, cela va finir en baston. Eh oui. Continuer la lecture de Captain America – Civil War

Que ma joie demeure – L’Exoconférence

coffret-astier-exoconference-que-ma-joie-demeure-5053083051563_0Comme beaucoup de monde, je connaissais surtout Alexandre Astier pour Kaamelot. Mais le monsieur a de nombreuses cordes à son arc. En plus d’un sens de l’humour très développé et d’un amour des beaux mots et des tournures bien faites, il est musicien de talent et mélomane averti, curieux et un homme de spectacle au sens large. J’ai retrouvé tous ces éléments dans ses deux spectacles solos que j’ai pu voir ces derniers temps…

Dans Que Ma Joie Demeure, il se glisse dans la peau de Bach, et transforme sa scène en école de musique à laquelle il convie le public pour une journée portes ouvertes. On lui a demandé de présenter quelques fondamentaux de musique à ces gens qui n’y connaissent rien et Astier va ainsi démontrer sa maîtrise musicale en alternant théorie et jeu au clavecin, le tout agrémenté de points d’humour particulièrement bien senties, et souvent grinçantes. Ces moments vont alterner avec des passages plus calmes, plus réservés, moins portés sur l’humour, et constituant des flashbacks sur la vie pas toujours rose de Bach. Le spectacle est un véritable hymne au compositeur qu’Astier semble vraiment aduler.

L’Exoconférence se propose de reprendre les bases de diverses théories scientifiques sur l’univers, sa formation, son fonctionnement, pour en arriver à la question de la vie extra-terrestre. Continuer la lecture de Que ma joie demeure – L’Exoconférence