Bon, on entame cette période de fins de saisons pour pas mal de séries avec le grand classique The Big Bang Theory. Et là rien de bien neuf sous le soleil. Les scénaristes tentent de nous amener quelques nouveautés au niveau des couples, ou de quelques situations particulières. Mais autrement on est dans une machine qui roule et qui ne sort surtout pas de ce cadre. La série fait le job mais sans plus. Ce n’est plus la série dont j’attends chaque épisode avec impatience pour m’en délecter dès sa diffusion. Mais je suis toujours avec un certain plaisir, même si elle commence quand même à donner du mou. Mais bon, tant que l’audience est au rendez-vous, ils vont continuer à enchaîner ; une rumeur parle malgré tout d’une fin après la saison 10 (ce qui la classerait à la même durée que Friends, ce n’est pas négligeable).
C’est bon, mais c’est maintenant quand même très convenu.
Précédemment : saison 1, saison 2, saison 3, saison 4, saison 5, saison 7, saison 8.
Mike est un petit looser. Il gagne un salaire de misère en bossant dans un supermarché pourri, il rentre pour fumer des joints et glander avec sa copine Phoebe, il est sujet à d’incontrôlables crises d’angoisse, nerveux, renfermé. Jusqu’au jour où une femme étrange débarque au magasin et lui sort une série de phrases sans trop de signification. Peu après, quand des balaises s’en prennent à lui, Mike les tue en deux coups de cuillère à pot sans vraiment se rendre compte de ce qu’il fait. Il s’avère qu’il est en fait un agent dormant d’un programme ultra-secret de la CIA, le genre de gars super-entraîné capable des plus grands prodiges mieux que James Bond et Jason Bourne réunis. Poursuivi par l’agence d’espionnage, perdu et ne comprenant pas trop ce qu’il doit faire, Mike entraîne Phoebe dans son truc et le tout va se refermer sur les deux amoureux dans une spirale de violence et d’action avec son lot de révélations.
Ah ben voilà… après une
Comme beaucoup de monde, je connaissais surtout Alexandre Astier pour Kaamelot. Mais le monsieur a de nombreuses cordes à son arc. En plus d’un sens de l’humour très développé et d’un amour des beaux mots et des tournures bien faites, il est musicien de talent et mélomane averti, curieux et un homme de spectacle au sens large. J’ai retrouvé tous ces éléments dans ses deux spectacles solos que j’ai pu voir ces derniers temps…