Archives par mot-clé : steampunk

Professeur Evil et la Citadelle du Temps & 18, Soldats du feu

Avec ce nouveau petit billet « jeux de société », je vais me pencher sur deux jeux coopératifs à la forte ambiance. Comme d’habitude, je vais vous présenter ici un avis hautement subjectif basé sur les quelques parties que j’en ai faites ; ce n’est pas une analyse en profondeur résultant de plein de tests approfondis. Donc aujourd’hui je vous propose d’une part de vous introduire dans la citadelle d’un grand méchant pour récupérer des reliques légendaires, ou alors de jouer les héros en sauvant des personnes prises dans un immeuble en feu. Et l’un comme l’autre sont très sympathiques, prenants et tendus.

Professeur Evil et la Citadelle du Temps

Grâce à sa machine à voyager dans le temps, le terrible Pr Evil a volé les plus grands trésors de l’Humanité qui sont maintenant répartis dans sa citadelle en attendant qu’il puisse les faire disparaître à jamais. Une équipe de courageux aventuriers-cambrioleurs va se glisser dans la citadelle pour récupérer ces reliques avant qu’Evil n’en fasse ce qu’il veut. Le jeu est coopératif, chacun des 2 à 4 joueurs prenant en main l’un des aventuriers concernés pour circuler au sein de la demeure pleine de pièges. L’âge conseillé est 8 ans (et ça me semble assez juste) pour des parties d’environ 45 minutes. Je vous l’avais déjà évoqué dans un de mes billets sur le FIJ. Continuer la lecture de Professeur Evil et la Citadelle du Temps & 18, Soldats du feu

Confessions d’un automate mangeur d’opium

Bon ben voilà, les couvertures de la collection steampunk de Milady/Bragelonne me font vraiment de l’œil. Sur celle-ci il y avait en plus les noms de Fabrice Colin et Mathieu Gaborit, des noms bien établis dans les milieux de l’imaginaire français (romans et jeux de rôles). Donc me voilà parti pour lire ce roman écrit à quatre mains nous plongeant dans un Paris steampunk en 1889. La révolution industrielle se fait avec l’utilisation de l’ether, une énergie particulière capable de faire voler d’immenses aéronefs, de créer des armes ou des automates fantastiques, mais dont tous les effets ne sont pas encore bien compris. A la mort suspecte de son amie, une comédienne se lance dans une enquête afin de tirer les choses au clair, aidée par son frère aliéniste. On va aller de mystère en révélation, alternant phases d’enquête et d’action avec un rythme bien posé. Pour aller à un dénouement épique de grande ampleur. Continuer la lecture de Confessions d’un automate mangeur d’opium

Boneshaker

Etats-Unis, 1880. La Guerre Civile fait toujours rage. Pour extraire de l’or, un savant invente une puissante machine appelée le Boneshaker. Lors de ses tests, quelque chose part en sucette et la machine détruit une partie de Seattle ; un gaz étrange sort des tréfonds de la terre et transforme ceux qui le respirent en sorte de zombies agressifs. Seize ans après, on a construit un mur autour de la zone pour contenir le gaz et ces « Pourris », mais des gens vivent toujours dedans. Un adolescent habitant à l’extérieur décide d’aller en quête de son passé dans cette ville de tous les dangers, bientôt suivi par sa mère qui cherche à le sauver. Continuer la lecture de Boneshaker

Les compagnons de Roland

Les Saisons de l’Etrange… Une collection particulière de l’éditeur Les Moutons Electriques qui a été financée par crowdfundng, et j’y avais participé parce que c’était vraiment vendu avec tout ce qu’il faut pour me titiller : « Passionnés de séries B, de films Z, de pulps et de comics, avec les Saisons de l’étrange nous vous proposons une aventure littéraire pensée comme une série télé ou les issues d’un comics ». Je vous avais déjà fait part de ma première lecture de la gamme, et voici donc la deuxième, du pulp rapide et efficace, avec ces Compagnons de Roland. Continuer la lecture de Les compagnons de Roland