Dans la série des moults (et pas toujours terribles) remakes des films à succès des années 80/90, plongeons-nous sur cette version 2014 de Robocop. En rappelant quand même que l’original de Verhoeven en 1987 était une tuerie et s’est imposé comme une référence. Difficile du coup d’être à la hauteur.
Au niveau du scénario, on retrouve une corpo qui veut développer des policiers robots, un flic qui se fait dézinguer et que l’on sauve en le robotisant à mort, et une lutte contre la corruption et un pouvoir gangréné. Rien de bien neuf là-dedans… Continuer la lecture de Robocop (2014)→
Il n’y a pas si longtemps, je vous parlais de Wolfenstein : The New Order que j’avais franchement bien apprécié. C’est donc sans trop réfléchir que je me suis jeté dans la suite (datée de 2017) des aventures sanglantes de William J. Blazkowicz, dit Blazko le Barjot, toujours sur les traces de nazis à dessouder par paquets. A la fin du premier volume, on croyait notre héros mort, sacrifié pour la bonne cause, mais il s’en est sorti grâce à ses amis. Et c’est certes abimé, mais nanti d’outils pour combler ces blessures, que le massacreur de nazis reprend du service pour aller encore plus loin ; cette fois il part pour les USA afin de relancer la rébellion contre l’occupant venu d’Allemagne et poursuivre sa Némésis la Générale Engel. Et sans trop vous en dévoiler, ça va chier dans les ventilos. Continuer la lecture de Wolfenstein 2 : New Colossus→
Bon ben voilà, les couvertures de la collection steampunk de Milady/Bragelonne me font vraiment de l’œil. Sur celle-ci il y avait en plus les noms de Fabrice Colin et Mathieu Gaborit, des noms bien établis dans les milieux de l’imaginaire français (romans et jeux de rôles). Donc me voilà parti pour lire ce roman écrit à quatre mains nous plongeant dans un Paris steampunk en 1889. La révolution industrielle se fait avec l’utilisation de l’ether, une énergie particulière capable de faire voler d’immenses aéronefs, de créer des armes ou des automates fantastiques, mais dont tous les effets ne sont pas encore bien compris. A la mort suspecte de son amie, une comédienne se lance dans une enquête afin de tirer les choses au clair, aidée par son frère aliéniste. On va aller de mystère en révélation, alternant phases d’enquête et d’action avec un rythme bien posé. Pour aller à un dénouement épique de grande ampleur. Continuer la lecture de Confessions d’un automate mangeur d’opium→
Sorti en 2014, ce jeu s’inscrit dans la longue et prestigieuse lignée Wolfenstein qui remonte quand même à 1981, avec Castle Wolfenstein. Et puis le fameux Wolfenstein 3D sorti en 1992 (avant l’arrivée de Doom l’année suivante qui a donné son nom aux jeux « doom-like » aujourd’hui appelés FPS). Ma première incursion dans cet univers, que j’avais beaucoup appréciée, était sur Return to Castle Wolfenstein, reboot de Wolfenstein 3D (là on est en 2001, ça sent un peu moins la naphtaline). Et voilà t’y pas que j’ai trouvé à vil prix ce New Order pour ma XBox, premier jeu d’une nouvelle trilogie dans lequel on retrouve le soldat William J. Blazkowicz, héros des précédents opus. Continuer la lecture de Wolfenstein – The New Order→