L’autre jour, je buvais tranquillement un soda quelconque devant mon écran en passant mes flux RSS en revue quand soudainement j’ai failli m’étouffer et cracher sur mon écran, toussant comme un fou. En gros, des compagnies aériennes gueulent pour avoir à payer une taxe carbone!!! L’article en question est celui du Huffington Post, mais on trouve trace de ceci ailleurs bien entendu (par ex Le Monde, Le Nouvel Obs, ou FranceTVinfo). Eh oui, ces très gros pollueurs refuseraient de participer à l’effort généralisé qui est fait, non pas pour moins polluer, mais au moins pour appliquer le principe du pollueur-payeur ; ce principe est censé amener des sous dans des caisses servant ensuite à des projets d’aide au développement durable. Bien entendu, on est ici sur le biais que j’ai déjà évoqué dans le principe du pollueur-payeur, à savoir cette espèce de liberté de polluer accordée aux riches qui peuvent se l’offrir. Et surtout le fait que l’on ne limite pas la pollution, on ne fait que faire payer ceux qui polluent ; en espérant que cela les incite à moins polluer. Continuer la lecture de Les compagnies aériennes piquent leur grosse colère
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Doctor Who, saison 1 (2005)
Encore un truc qui m’avait échappé durant des années et sur lequel je me suis lancé (c’est fou tout ce que l’on peut voir comme séries et films quand on a un bébé qui dort mal). Bref, me voici donc sur Doctor Who, série adulée par nombre de geeks. Alors attention, je parle ici de la nouvelle version. Parce que cette série est une des plus longues au monde, avec des épisodes sortis déjà en 1963 (ça nous rajeunit pas tout ça) ; et cette première mouture a duré jusqu’en 1989! J’aime mieux vous dire que ça fait une terachiée d’épisodes. Mais là je parle de la nouvelle mouture, débutée en 2005.
La série nous narre les aventures du Docteur, un Maître du Temps, et même probablement le dernier survivant de cette race. Il voyage dans l’espace et le temps à travers les galaxies et les millénaires à bord d’un engin particulièrement puissant et étonnant, le Tardis. Et en général, là où il va, les aventures et les dangers l’y retrouvent et il a tout intérêt à se bouger s’il veut sauver des gens/le monde/la galaxie/une espèce/etc. A noter qu’il est accompagné d’une humaine rencontrée dans le premier épisode, la jeune et jolie Rose.
The Curious Case of Benjamin Button
Etrange film que ce Benjamin Button… Prenant, émouvant, avec sa dose de fantastique inexpliqué… David Fincher a réalisé là un film à part, situé entre la fresque d’une période historique et la love story impossible et destinée à mal se terminer. Alors c’est certain, Fincher n’a pas l’habitude des films trop faciles (The Game, Fight Club, Seven, par exemple) mais là on sort carrément des registres. On n’est pas devant un film avec une action bien établie et les habituels gentils et méchants de l’histoire. Ici on est face à un homme, et à sa découverte du monde.
Benjamin Button est né vieux en 1918. Nouveau-né, il a les maladies et les caractéristiques d’un homme de 85 ans. Abandonné par son père (veuf), Benjamin est repris sous l’aile d’une aide soignante s’occupant de personnes âgées dans un home. Et sa vie va défiler, il va découvrir le monde alors que son corps rajeunit. Le film suit sa vie mouvementée jusqu’à sa mort, bien des années plus tard, sous la forme d’un nourrisson. Jamais, pas une seule fois, ne sera expliqué le pourquoi de cette part de fantastique, cet aspect irréel du corps né vieux qui rajeunit. Et ce mystère participe grandement au charme du film d’ailleurs…
La trilogie Jason Bourne
Depuis le temps que j’en entendais parler, il était quand même temps que je regarde cette trilogie d’espionnage. C’était bien agréable.