Berlin 1989, à la veille de la chute du mur. La ville est dans une ambiance particulièrement tendue, au cœur de la guerre froide. Les espions s’y installent et les informations y circulent. Anglais, américains, russes, français, tout le monde tisse son petit réseau. Suite au meurtre de l’un de ses collègues, une agente anglaise est envoyée sur place afin de retrouver une liste secrète de noms, et par là même d’identifier un agent double qui pose beaucoup de soucis. Elle va tomber dans un véritable merdier où tout le monde se tire dans les pattes, où elle ne peut faire confiance à personne, où ça flingue un peu à tout va. De piste en baston, d’interrogatoire en découverte, elle va tenter de remonter la piste de cette liste, laissant dans son sillage un nombre de cadavres assez impressionnant. Continuer la lecture de Atomic Blonde
Archives par mot-clé : action
Ready Player One
Ou juste « Player One » dans sa traduction en français… Ce roman de 2011 est le premier (et pour l’instant unique) d’Ernest Cline (scénariste du film a l’air bien délire Fanboys).
Après ma précédente lecture qui était assez ardue et difficile à s’approprier, celle-ci s’avère extrêmement facile d’accès (et pas seulement parce que je l’ai lu en VF, la VO ne doit pas être fondamentalement complexe). En fait j’ai dévoré le bouquin à grande vitesse. Continuer la lecture de Ready Player One
Train to Busan
Alors là je dis « waouw »! Les films d’infectés/zombies, on en a soupé, à toutes les sauces, du très bon au franchement moins que bof. Ce « Dernier train pour Busan », film coréen de 2016, redonne des galons à un genre qui commençait à avoir saturé et atteint ses limites.
Fury
On est en 1945. L’Allemagne est en train de perdre la guerre. Les alliés s’avancent dans le pays où la population aux abois tente une dernière lutte sous les ordres d’un Hitler enragé. Ce film s’attache à détailler la mission derrière les lignes ennemis de l’équipage d’un char d’assaut, le Fury, composé de solides gaillards habitués à la guerre et qui en ont vu de toutes les couleurs ; sauf le petit nouveau qu’on leur colle dans les basques pour remplacer un équipier mort au combat. Ce petit gars ne connaît rien à la guerre et n’aurait jamais dû être sur le front, et il va nous servir à plonger avec lui dans ces moments si durs. Les combats seront difficiles car les chars des alliés sot bien loin des réussites techniques allemandes, leurs tanks s’avérant autrement plus résistants et puissants.